EDITO

L’histoire des Sciences, des techniques et des civilisations, c’est l’histoire de l’humanité racontée par elle-même dans les limites infranchissables d’une phénoménologie vécue. De là résulte le savoir commun à tous, relatif à chacun et la compréhension unique de l’être humain au sein de l’environnement planétaire.

Les Sciences (point de vue holistique) selon André Ampère, incluent et combinent une partie cosmologique (analyse de la matière) et une partie noologique (analyse de la conscience). J’ai longtemps hésité pour « structurer les temps passés ». L’étude historique d’Ampère, sa classification était trop systématique (rationnelle, manichéenne…). C’est pourquoi de la conscience (gr. noos, noûs) au kosmos (manifesté), les plans s’interpénètrent et l’histoire humaine, celle des Sciences et des civilisations n’est qu’une petite histoire de l’Univers, celle de la Terre et des responsabilités du règne humain. L’humain interprète la réalité (phénomène) en conscience (noumène), avec ce qu’il est, c’est à dire avec ses limites pour aborder le tout. J’ai choisis d’interpénétrer les domaines explicités tout en indexant une recherche combinée (chronologique et thématique) :

Je suis libre dans l’expression, la tonalité et le choix des thèmes abordés. Totalement indépendant, j’écris les articles au fil du temps… C’est une distraction, un travail méthodique et le besoin de débroussailler la friche idéologique des concepts. Quel en est le motif ? Une simple curiosité personnelle, une obsession infantile du désir de connaître le monde dans lequel je vis. L’enfant souhaite connaître, l’homme mûr s’efforce de comprendre et le vieillard est ce qu’il est.

22 janvier 2021 à Marminiac (France)

Bibliographie

Je mets un point d’honneur depuis +35 ans d’écriture à n’utiliser comme référence que ma bibliothèque. Alors bien sûr c’était très limité au début, une cinquantaine de livres que j’avais acquis (en travaillant) sur les périodes estivales à l’âge du lycée. Maintenant c’est encore modeste, la bibliothèque de mon bureau contient +1000 livres et une quantité égale est empilée au grenier. Depuis la fin des années 90, j’ai acquis patiemment, avec curiosité et intérêt ces livres pour les étudier et en extraire la substance. En général, je résume un livre que j’étudie pour le travailler en profondeur, je peux retrouver facilement des références dans ma bibliothèque, je n’ai pas besoin d’IA (intelligence artificielle) mais seulement de ma mémoire pour me souvenir du livre et relire la référence qui me venait en tête. J’ai beaucoup écris sur les livres que j’ai lu, des milliers de pages sont entassées dans mon grenier. J’utilise et distille ces écrits pour les convertir/relire/enrichir et les publier (HTML) sur mon serveur d’histoire des sciences (indépendance).

Il y a beaucoup d’encyclopédies (histoire, civilisations, science, philo, arts, techniques…) et de théories en maths, physique (astrophysique), chimie aussi en sciences cosmologiques et des traités de philosophies, des textes théologiques (religions) et théosophiques (symbolisme) mais aussi mythologiques (sciences noologiques) dans ma petite bibliothèque personnelle. Le plus important dans la connaissance n’est pas d’empiler des données mais plutôt d’en établir des liens pour insuffler l’émergence d’une intuition différente en s’efforçant humblement de comprendre la réalité (phénoménologie). Celle qui m’intéresse concerne la Science et les liens perceptibles et modélisables entre la science cosmologique et la science noologique.