Archives pour la catégorie Matière

Les Particules Élémentaires Cosmologiques et Noologiques

Les particules élémentaires sont les constituants de la matière. Les particules cosmologiques sont celles définies par le modèle standard en physique. Les particules noologiques sont définies en nombre et en structure dans la chimie théosophique. La physique (cosmologique) des particules présente les atomes avec un noyau (des nucléons) et une structure de couches électroniques qui s’empilent dans « un champ de forces ». La chimie théosophique (noologique) modélise les atomes par des assemblages de particules noologiques (des ANU) décrit géométriquement et dynamiquement dans un « champ de formes ».

Lire la suite Les Particules Élémentaires Cosmologiques et Noologiques

Nouvelles Perspectives en Microchimie

La Chimie est une science expérimentale comme la Médecine qu’elle accompagne dans la précision descriptive des phénomènes quantitatifs. La médecine est plus qualitative, elle s’appuie sur la mesure, les multiples (constantes expérimentales), les formes descriptives (mathématiques) et les nouvelles interprétations (paradigme et épistémologie). Comme en Microphysique il y a un siècle pour changer la perception et la détermination d’une réalité complexe mais restant toujours dans une approche phénoménologique (expérimental) tout en étant probabiliste maintenant. La Microphysique (radioactive, quantique) est une approximation des prédictions, sur des phénomènes erratiques, mais harmonieux dans la statistique (Boltzmann, Bose-Einstein, Fermi…) comme l’est le mouvement brownien qui représente la danse du pollen à la surface d’un liquide. La Microchimie est une approche particulière de l’Histoire des Sciences dans ses fondements philosophiques pour assoir la nouvelle description de la Matière liée inexorablement avec les formes géométriques et les sons (vibrations). La science cosmologique (matière) peut s’appuyer sur la noologie (énergie) pour expliquer les phénomènes observés.

Lire la suite Nouvelles Perspectives en Microchimie

Oxygène (Z=8)

Peu importe qu’un anglais (Scheele en 1772) ou qu’un autre (Priestley en 1774) ait découvert le dioxygène (oxygène sous forme gazeuse), l’oxygène est appréhendé spontanément par la respiration des nouveaux-nés depuis la nuit des temps. L’atome d’oxygène est très important, dans le monde du vivant (gaz, respiration) mais également sous toute forme liquide pour mesurer l’acidité ou la basicité d’un milieu (H3O+ et OH) et l’oxygène est couplé à 2 atomes d’hydrogène pour donner la formule chimique de l’eau H20. Finalement, l’oxygène est au cœur de la matière condensée (solide) pour toutes transformations physico-chimiques des phénomènes de corrosion (oxydation) et de combustion.

Lire la suite Oxygène (Z=8)

La Spectroscopie

Une vérité n’est certaine que sur un plan relatif à l’ensemble du système considéré. Il existe toujours des niveaux de perception et des cadres ou des contextes que l’on suit pour se conformer à une certaine approche épistémologique des faits analysés. De l’analyse physique des faits, émerge la preuve de l’expérience traduite en valeurs numériques qui permettent d’ajuster un certain modèle prédictif dans un langage mathématique. La spectroscopie révèle un monde subatomique régit par des lois différentes du monde physique. La spectroscopie est le modèle par excellence de l’expérience qui permet de voir autrement. De la spectroscopie à la géométrie non commutative, l’histoire est longue puisqu’elle sillonne les deux siècles précédents mais elle est intéressante car l’expérience est à la frontière de deux mondes.

Lire la suite La Spectroscopie

La Constante ALPHA de Structure fine

La constante de structure fine en physique renferme une intrication à démêler. C’est aussi une question de non-séparabilité quantique pour rendre hommage (05/10/2022) à Alain Aspect, prix Nobel de physique. Ce phénomène d’intrication quantique pose un problème philosophique avec l’interprétation sensorielle et cognitive du monde qui nous entoure. Tout ceci est très paradoxal, les notions d’espace et de temps n’existent pas dans ce contexte et dans l’interprétation des faits expérimentaux (intrication).

Lire la suite La Constante ALPHA de Structure fine

Electron – Part. 5

L’électron est au cœur de l’explication du monde d’un point de vue scientifique. Découvert en 1887 par J. J. Thomson, l’électron participe à de nombreux modèles « flous ou incomplets » dans l’approche fondamentale de la physique. Au niveau théorique (modèle standard), au niveau macroscopique en cristallographie ou dans le domaine appliqué de la matière condensé. Les mathématiques sont au-dessus de ce débat, souvent en avance par rapport aux découvertes phénoménologiques de la réalité. L’empirisme expérimental de la science s’efforce de formaliser ses résultats tout en divergeant des « principes absolues » qui président à la manifestation de la réalité visible et invisible.

Lire la suite Electron – Part. 5

Electron – Part. 4

Les trois premières parties de ce travail d’association d’idées et de focalisation sur certains concepts me permet d’aborder plus sereinement la beauté et l’expression géométrique des formes naturelles. Les formes qui nous entoure sont variées. La forme sphérique domine les corps célestes qu’ils s’agissent de planètes ou d’étoiles. L’atome est également identifié à une sphère mais la cristallisation moléculaire révèle une pluralité des formes plus qu’intéressante au niveau symbolique et esthétique mais également au niveau des assemblages atomiques (échelle microscopique). L’apparence des « choses physiques » se complexifie, les forces se compensent, les lois d’attraction et de répulsion se manifestent « librement » pour laisser émerger un contrebalancement des contraires faisant penser inexorablement à l’harmonie par le conflit. C’est par le tiraillement des entités présentes dans la substance que les agrégats de matière se manifestent.

Lire la suite Electron – Part. 4

Electron – Part. 3

Pour comprendre la matière, je combine deux modèles distincts dans l’idée hypothétique de trouver un angle de vue ouvrant de nouvelles perspectives. Le modèle standard en physique des particules et le modèle des Plans et de l’atome ultime en théosophie contemporaine. Le schéma de la matière que nous offre la science s’apparente plus à un croquis inachevé et illisible. Comment accepter que le modèle standard n’explique pas la matière-énergie noire dans l’Univers. La vitesse de rotation des galaxies est un fait observable par une grandeur physique mesurable (par spectroscopie). Des deux articles précédents j’en déduis que l’électron n’existe pas comme « particule physique » mais comme manifestation d’interaction entre notre plan physique et le sous-plan E4 (hypothèse, puisqu’il y a conservation du nombre d’ANU entre H et H+). De plus des changements d’échelles (entre les différents sous-plans) génèrent des perturbations qui nécessitent d’adapter les modèles, les interactions fondamentales et donc les Plans (sens théosophique) de la manifestation visible et invisible.

Lire la suite Electron – Part. 3

Electron – Part. 2

La matière est polarisée électriquement (+) ou (-) comme pour l’électron (-) et le positron (+) sa particule antimatière. Lorsqu’un électron rencontre un positron, les deux possédent une masse, ils se transforment en rayonnement après la collision c’est à dire en photon de lumière. Le photon est électriquement neutre mais cette collision entre l’électron et le positron affirme clairement qu’il y a dans notre monde physique une équivalence entre la matière et le rayonnement. Ce résultat scientifique est contraire au bon sens. Mais c’est A. Einstein qui en trouve l’expression analytique : E = mc² ; avec E l’énergie en Joule, m la masse en kg et c la vitesse de la lumière en m/s. On voit que la masse s’exprime également dans l’unité usitée : eV/c². C’est celle utilisée pour comparer les masses des quarks dans la partie 1 de cet article.

Lire la suite Electron – Part. 2

Electron – Part. 1

L’électron est une petite particule électrifiée qui donne forme à la matière et plus particulièrement à l’atome. Les électrons tournent autour du noyau de l’atome, de 1 à 100 c’est le nombre possible d’électrons qui s’organisent sur des couches énergétiques, des orbites de « gravitation électrique » autour du noyau de l’atome. La « gravitation électrique » n’existe pas, mais l’association possible des mots sur les idées fondées par la science, rend la réalité intelligible même si le monde reste inconnu à la perspicacité humaine et à la puissance de calcul de la science. Il semble logique de penser que l’humain découvre les secrets de la matière lorsqu’il est prêt pour les exploiter en toute conscience.

Lire la suite Electron – Part. 1