Karl Schwab est le Roi (d’un petit territoire), un des dominants parmi les Puissants mais la pieuvre est tentaculaire, chaque bras armé du matérialisme occidental souhaite une part du gâteau. Le Fou est incarné par EM, président de la « Ripoublique française » depuis 2017, avec ses acolytes des « young global leaders » du WEF mondial, un groupe de roquets intelligents au service du mal…
La Terre est le cirque, la scène au chapiteau rouge et jaune, le peuple regarde le spectacle sur les gradins ou il pousse le cri dans le désert, exclu qu’il est, du caravansérail. L’enjeu de la partie est de gagner le prix de l’ignominie pour casser le système gréco-romain qui est en fin de course dans son matérialisme excessif. Il n’y a pas d’erreur, les dirigeants et les dominants de l’occident poussent à l’effondrement organisé ; Comme il se doit, dans un monde de communication, de markéting et d’apparence. Les faits peuvent être détournés du sens qu’on leur donne.
En Occitanie, à l’époque médiévale, les troubadours s’efforçaient de distraire l’élite pour s’octroyer une partie relative du banquet. L’apparence décalée, l’intention majorée et l’expression bien menée pour mettre en scène la poésie, le jeu de scène, l’outrance et le jonglage sous toutes formes de pitreries pour distraire, envoûter et profiter ; c’est la devise du matérialisme occidental. Le Fou du Roi est un artiste et la scène actuelle est géopolitique, philosophique voire théosophique car même dans la folie, Dieu est là, non ? N’est-il pas fou d’associer les opposés pour les harmoniser par le conflit ? Quel destin plus funeste peut-on encaisser ?
Pourquoi tant de destructions vont se produire ?
Parce que la Terre sature des pollutions mentales engendrées par l’humanité depuis trop longtemps, depuis des millénaires en fait, les civilisations se combattent et les humains s’entretuent. La bataille actuelle est la dernière avant une longue période de Paix puis le grand saut dans l’inconnu d’annihilation corporelle (pralaya) mais dans une intention confirmée pour la conscience de groupe ; on en est loin. Le Fou du Roi est individualiste, il part seul sur la route avec son balluchon et son chien. Il arpente les territoires en vivant de la Nature (opportunités) et du fruit de son art dans l’inconscience bien menée de la distraction.
EM est placé là pour ce qu’il doit faire, les intentions sont mauvaises et les faits inquiétants. Le pire, pour les imagiers du moyen-Âge, c’est que le fou du Roi peut marcher vers la falaise sans s’arrêter, seul son partenaire fidèle, le chien lui mord le pantalon au niveau des mollets pour le stopper dans son suicide inconscient. En plus, il lit en marchant, le fou du Roi se cultive dans l’inconscience de ce qu’il peut percevoir mentalement sans attachement au cœur, à l’altruisme et à la « sensibilité des choses comprises » qui ne sont pas raisonnées par dichotomie. Pauvre logique d’Aristote, voilà ce qu’elle est devenue, un résidu de compréhension égoïste, dans l’orgueil de la délectation du pouvoir. Pauvre France ! Pauvre Science ! Pauvre Religion et pauvre de moi dans ce calvaire à l’envers du consentement acceptable d’un pacte social harmonieux. N’ayons pas peur et acceptons l’adversaire comme il est, médiocre et sans valeur sinon l’incarnation de la destruction du système actuel qui a fait son temps.
Le temps du journalisme sur le terrain du Dombas censurée depuis la « bascule ukrainienne », l’instant qu’elle révéla les faits d’une machination de plus, encore une sortie de l’imagination du groupe pervers des atlantistes. De council en décision arbitraire votée opportunément en état d’urgence programmée, les mondialistes sont minables dans le maniement des ficelles qu’ils tirent pour animer le pantin sans vie d’un transhumanisme que nous refusons. Résistance de l’Un conscient dans le Multiple de tous en tout différent, j’en appelle à ton honneur moral, ton courage au combat et à ta vision dénuée d’orgueil, d’égoïsme et de pouvoir cher lecteur attentif aux mots et à la petite flamme dans le cœur qui vacille fragilement avec un manque de souffle.
Le Cimetière d’Amboise (L. C. Saint-Martin, 1743-1803)
J’aime à porter mes pas dans l’asile des morts. Là, mourant au mensonge, il me faut moins d’efforts pour comprendre leur langue et saisir leur pensée, car les mots ne l’ont pas, cette idée insensée, que tout s’éteint dans l’homme. Eu eux tout est vivant. Pour eux, plus de silence. Autour d’eux l’on entend les sanglots du pêcheur ; les fureurs de l’impie ; les cantiques du sage ; et la douce harmonie de ceux dont l’amitié, le zèle et la vertu n’ont formé qu’un seul cœur pendant qu’ils ont vécu.
Homme, c’est ici bas qu’il à pris la naissance, ce néant où l’on veut condamner ton essence ; et c’est ta propre erreur qui lui sert de soutien. Tu sais tout ! tu peux tout ! et tu peux n’être rien !… N’être rien !… et saisir et juger la lumière !… Laisse à l’homme égaré ces rêves de la terre ; nous n’étions qu’assoupis dans nos corps ténébreux.
Quand le temps nous arrache à leurs débris fangeux, l’heure qui nous réveille est une heure éternelle. Oh ! juste, quels transports ! quelle splendeur nouvelle : tu prends un autre corps, au creuseet du tombeau ; un vif éclat, toujours plus brillant et plus beau ; un coup d’oeil plus perçant; une voie plus sonore ; un coeur même plus pur. Ainsi quand j’évapore ces fluides grossiers où le sel est captif, son feu reprend sa force, et devient plus actif. […]
DEMETER, Paris 1987
En France, comme en US, UK, CA, AUS… ce sont les dirigeants politiques (pantins de la finance) qui doivent s’inspirer du talent de Louis-Claude Saint-Martin, c’était une autre époque mais son livre « Le Ministère de l’Homme Esprit » serait bien utile aux politichiens qui nous gouvernent en Occident.