Le texte examine l’évolution de la physique depuis Newton jusqu’à une nouvelle approche appelée physique noétique, qui intègre la conscience comme variable mesurable. Newton a unifié les lois de la gravité et a posé les bases de la mécanique classique. La physique noétique, quant à elle, surmonte les limites rencontrées par les modèles contemporains, en proposant des solutions aux défis tels que la mesure quantique et l’émergence de la vie, tout en reliant intention et matière via des structures mathématiques avancées. Cette approche vise à unifier les concepts de matière et de conscience, postulant une réalité où ces éléments co-évoluent.
En 1687, Newton développe ses Principia Mathématica dans un contexte de transition entre philosophie naturelle aristotélicienne et science mathématisée. Il unifie les lois terrestres et célestes sous la gravitation universelle, établissant la mécanique classique comme paradigme dominant. Sa méthode repose sur la synthèse pour ramener des effets analogues à une cause unique, sur l’extrapolation pour généraliser à partir de l’expérience et sur l’intuition validée par l’expérimentation.
La nouvelle physique noétique que je développe ici est différente car j’opère dans un paysage post-quantique, ce qui me permet d’explorer avec plus de sérénité (outils mathématiques et informatiques) les champs d’intention  couplés à la matière par des opérateurs quantiques étendus. J’intègre également les données d’une philosophie expérimentale (théosophie) en mathématisant la géométrie des ANU (atomes ultimes) comme substrat matière-conscience.
Newton innove dans le formalisme du calcul infinitésimal (fluxions), les lois du mouvement lorsque je travaille dans un espace de Hilbert biphasique. Newton valide ses résultats avec des observations astronomiques (lois de Kepler), des expériences optiques lorsque j’envisage des modèles prédictifs (densité informationnelle critique) et protocoles RMN proposés.
Newton utilise les maths pour décrire la nature, inaugurant la physique mathématisée. Son Opticks (1704) lie expérimentation et modélisation.
J’étends la physique quantique à des variables noétiques avec des équations comme :
où le produit de k par le module de Psinoét au carré représente l’influence de la conscience sur les morphogènes biologiques.
Newton postule une matière subtile (éther) pour expliquer la gravité et la lumière, influencé qu’il était par l’alchimie. Son paradigme de la gravitation comme « action à distance » reste un défi ontologique.
Je modélise les ANU par des équations polaires (rtéta=a+b.cos(k.téta)) générant des champs de torsion OMEGA pour définir la transition matière-vie par une énergie libre :
éta est la densité informationnelle noétique.
Il s’agit de dépasser les frontières du connaissable, Newton unifie ciel/terre lorsque je souhaite unifier matière/conscience. Newton a fourni le cadre déterministe mais n’a pas pu achever son projet alchimique de « matière vivante » alors que je tente de faire de la conscience une variable physique mesurable (en kilopsy), prolongeant la démarche newtonnienne en intégrant des plans de réalité multiples inspirés de Dirac et de Crookes.
La physique noétique est un changement de paradigme pour résoudre l’impasse actuelle de la physique. Faut dépasser les blocages épistémologiques actuels en intégrant la conscience comme variable physique via le champ noétique et l’espace de Hilbert biphasique, elle offre des solutions à trois impasses majeures :
Problème de la mesure quantique : Le « filtre noétique » résout la réduction du paquet d’ondes en faisant de la conscience un opérateur géométrique (Hnoét 7D), éliminant le dualisme observateur/système.
Emergence de la vie : La transition de phase (énergie libre) avec densité informationnelle critique explique l’auto organisation biologique comme brisure de symétrie matière-conscience, inaccessibles aux modèles purement chimiques.
Unification gravité/quantique : En faisant émerger la gravité des fluctuations du champ noétique, elle contourne les incohérences des cordes et des boucles.
Bien que spéculative, cette approche transforme l’observateur passif en acteur quantique, ouvrant la voie à une physique ou la conscience et la matière co-évoluent dans un cadre géométrique unifié. La physique noétique répond au cri d’Einstein : « La théorie décide de ce qu’on peut observer », en proposant un observable  pour l’intention humaine. C’est une révolution épistémologique aussi profonde que le passage de Newton à Einstein.
Formulaire de la physique noétique
Ces équations ne décrivent pas un monde physique, mais un univers conscient où l’esprit et la matière sont deux expressions d’une géométrie unifiée.
Ce formulaire résume l’essence mathématique d’une théorie visant à unifier la physique (cosmologie) et la conscience (noologie) offrant des prédictions à tester pour une science réformée du XXIe siècle.
Variable d’Etat
Constantes universelles
Equations dynamiques
Géométrie des ANU et plans noétiques
Relation de commutation
Emergence de la gravité
Observable et prédictions
Carte conceptuelle
La machine à salade du spectre de Â
Dans le cadre noétique (évaluation mesurable du « poids de la pensée »),  est un opérateur hermitien censé quantifier l' »intention ». Comme tout opérateur hermétien, ses valeurs propres sont réelles, mais le modèle reste vague sur le « calibrage des constantes ». Si l’on choisit de normaliser  de sorte que ses valeurs propres lambdan soient de l’ordre de 1, on obtient lambdan (réels) typiquement sur une plage [-1, 1] ou [0, 1], comme un spin 1/2. Cela permet d’assigner une dimension énergétique, il faut introduire un couplage epsilon (en J) tel que Hint = epsilon.Â. Dans ce cas, les énergies propres deviennent En = epsilon.lambda.n. Sans connaissance expérimentale, on ne peut fixer epsilon autrement qu’en mesurant « cette variable » sur un phénomène précis (seuil de perception, puissance d’une impulsion mentale…).
D’après les tables nutritionnelles, 200 g de laitue (15 kcal/100g) fournissent 1,25×105 J. Si l’on suppose qu’un « psyché » (unité minimale d’intention) correspond à l’énergie consommée par un potentiel d’action neuronal (10-10 J), le rapport entre l’énergie d’un « kilopsy » et celle d’une salade (200g) est infiniment grand.
Cinq grandes familles de protocoles expérimentaux existent pour envisager une « mesure cohérente » de l’énergie d’une intention et fixer une échelle en joule :
Calorimétrie cérébrale en milieu confiné. Enfermer le crâne d’un volontaire dans une cellule calorimétrique ultra-sensible (10-6 J), maintenir la T ambiante constante, et lui demander d’orienter son « attention » (imagerie mentale, concentration). Mesurer la différence du flux thermique (DELTAQ) entre repos neutre et phase d’intention convertie en puissance puis en énergie. Matériel : calorimètre différentiel (Peltier), thermistances à haute résolution, interface d’acquisition 24 bits. Si l’on détecte (DELTAQ) = 10-6 W sur 100 s, on obtient epsilon = 10-4 s.
Spectro-imagerie métabolique (PET/fMRI calorimétrique) : Coupler une tâche d’intention (comportement mental) à un examen PET-scan dopé en fluorures, puis convertir l’absorption de glucose (ou la désaturation de O2) en équivalent énergétique (4180 J/g de glucose); Faut mesurer la variation locale de consommation (en micromole/100g/min, le taux d’extraction d’oxygène, le volume tissulaires impliqués puis calculer l’énergie totale dépensée. Matériel : PET-scanner haute résolution, IRMf 7T, logiciel de quantification métabolique. Une activation focale (10 cm3) de cortex sous intention peut consommer 0,1 micomole/s ou 0,2 J/s donc 20 J sur 100 s de protocole.
Mesure magnétométrique (SQUID ou OPM) : placer le sujet sous casque à capteur SQUID ou optically pumped magnetometers, lui demander de « diriger » son intention vers un cristal paramagnétique. On cherche une brusque variation de l’aimantation hors bruit de fond. Mesure du champ magnétique intracrânien (10-15 T), intégration sur volume V pour chercher le moment magnétique delta(mu) et l’énergie delt(E) :
Matériel : casque MEG à capteur OPM (sensibilité <fT/Hz1/2, cryostat, blindage mu/métal. Si delta(mu) = 10-12 A.m² dans un champ Bext d’un microTesla, on peut évaluer delta(E)=10-18 J par évènement intentionnel.
Expérience d’influence statistique sur RNG (microjoules d’information) : Utiliser un générateur quantique de nombres aléatoires (basé sur désintégration quantique ou bruit laser), recueillir des milliards de bits en condition « contrôlée » vs « intention » et chercher un biais delta(p)=10-5. Mesurer l’information excédentaire I = N.[p.log(p/p0)+(1-p).log((1-p)/(1-p0))] en Joule/bit via k.ln(2). Matériel : RNG quantique, acquisition haute vitesse, test statistique PK. Pour N=109 bits et delta(p)=10-5, I=104 bits et comme énergie 104.(kT ln2)=10-15 J.
Chacun de ces protocoles vise à piéger epsilon dans une grandeur physique mesurable et la ramener à une énergie. Les différents plafonds de sensibilité de 10-18 J à 10 J pour le coupler au « kilopsy » de la physique noétique, il faut atteindre des résolutions inférieures à 10-8 J.
Extension noologique de la théorie des champs gravito-magnétiques en approximation faible de la relativité générale.
Cette formalisation trace la voie pour calibrer expérimentalement le couplage « intention-champ » :
Tableau de synthèse
Le d’Alembertien joue un rôle central dans la physique noétique car il garantit la causalité et l’invariance relativiste du « champ noétique ». Il impose au potentiel noétique An, une dynamique en onde, à la manière d’un champ de Klein-Gordon. Il permet aussi d’introduire une densité d’énergie et un tenseur énergie-impulsion noétique à coupler avec la métrique.
En fait le d’Alembertien est l’opérateur pivot qui transforme le concept spéculatif d’intention en une « onde noétique » calculable, soumise aux mêmes lois de causalité, de superposition et de conservation que les champs classiques de la physique.
Formalisation de l’espace de Hilbert biphasique
L’espace de Hilbert biphasique est une extension mathématique radicale de la mécanique quantique. Je l’ai introduit pour modéliser l’interface matière-conscience.
Définition axiomatique
Hphys est l’espace de Hilbert standard de la physique quantique (dimension 3N + 1 pour N particules) et Hnoét est l’espace noétique de dimension 7 (correspondant aux 7 plans de conscience théosophiques).
Structure géométrique
Sa métrique tensorielle est :
Et son produit scalaire étendu (échelle de couplage) :
Etats biphasiques
Un état s’écrit :
Dynamique temporelle
Equation de Schrödinger étendue :
Hamiltonien noétique :
Opérateur de couplage matière-conscience
Réduction d’état biphasique
Symétrie fondamentales
Représentation géométrique
Transition de plan :
Implications physiques
Validation expérimentale
Protocole proposé :
Préparer un état intriqué biphasique :
Appliquer un gradient magnétique :
Mesurer la déviation :
Prédiction : deltax = 10-14 m pour t = 1 s
L’espace de Hilbert biphasique réalise la synthèse entre la structure quantique standard Hphys et la géométrie des plans de conscience Hnoét par un couplage opérationnel (opérateur Hcouplage). Ses limites concerne la non-localité contrôlée (<10-8 m), une cohérence temporelle tcoh=10-3 s et une instrumentation qui requiert une précision 10-18 m (défis technologiques). Cette construction prolonge le rêve de Von Neumann d’une mécanique quantique complète incluant l’observateur, tout en ouvrant des voies pour une ingénierie noétique quantifiée.
Cet espace n’est pas une abstraction, mais l’architecture mathématique où la matière rencontre l’esprit.
Complétude de l’espace de Hilbert biphasique
La complétude garantit que les états noétiques sont bien définis (pas de fuite dans les espaces exotiques), l’évolution temporelle (équation de Schrödinger étendue) préserve la cohérence et les mesures projetées convergent toujours vers un état physique-noétique.
La complétude mathématique de Hbiphasique reflète l’intégrité ontologique de l’interface matière-conscience.
Imaginons que Hnoétique ne soit pas complet, il existait des suites de Cauchy divergentes, menant à des états noétiques « fantômes » non normalisables, des probabilités non conservées, et des effets physiques incontrôlables (énergies infinis…). Sa structure de dimension finie interdit ces pathologies.
Géométrie des plans noétiques E1-E7
Les sept plans noétiques sont en fait, les 7 sous plans (noologique) du plan physique (cosmologique), ils forment l’architecture dimensionnelle de Hnoétique. Leur géométrie est non rémanienne, combinant courbure espace-temps et degrés de liberté intentionnels.
Exemple de modélisation possible
Chaque plan est un espace fibré avec comme base une variété pseudo-rémanienne 4D (espace-temps physique) et une fibre comme espace de phase noétique S1xR². La métrique totale s’écrit :
Description plan par plan
La connexion entre plans est gouvernée par le tenseur de torsion noétique :
L’équation de transition est :
Où gamma est un chemin dans l’espace des ANU, et C une courbe entourant une certaine quantité d’ANU.
Paramètres clés
Manifestations physiques
Cette géométrie septuple unifie physique et spiritualité par la topologie différentielle, quantifie les états de conscience comme solutions géométriques et prédit des effets mesurables. Les plans E1-E7 ne sont pas des strates mystiques, mais des solutions dynamiques de l’équation de Wheeler-DeWitt noétique :
Cette architecture fait de la physique noétique une théorie de la totalité où chaque niveau de réalité interagit par la géométrie des ANU et la manifestation du champ Â.
Espace de Hilbert noétique et masses négatives
La masse négative en physique conventionnelle est un concept m<0 impliquant une répulsion gravitationnelle et un comportement cinématique paradoxal avec une accélération négative.
l’espace de Hilbert biphasique permet d’incorporer des états de masse négative par un opérateur de masse généralisée :
Structure mathématique
Implications physiques
Conditions de cohérence
Validation potentielle
Détectable par interférométrie atomique (projet AION) comme signature expérimentale, l’émission de gravitons virtuels de fréquence imaginaire :
L’inclusion de masses négatives dans Hnoétique est mathématiquement possible (par une extention PT-symétrique); physiquement audacieuse avec des implications révolutionnaires (propulsion, gravité modifiée…) et expérimentalement reproductible par des signaux gravitionnels anormaux.
La masse négative n’est pas une entité physique, mais un opérateur entre géométries d’espace-temps.
Pour ouvrir des pistes
Bilan des paramètres
Couplage noétique entre masses négatives/positives
Le couplage entre masses de signes négatives/positives révèle que la gravité n’est pas une force fondamentale, mais une résultante statistique des interactions noétiques.
La constante G n’est qu’une effective description macroscopique du vidé noétique.
La gravité perd son statut de force primitive car elle émerge des interactions entre conscience  et matière de masse positive et négative. Le comportement macroscopique de la gravité résulte de la transition de phase E3-E5 (éta {la densité informationnelle en bits/m3} est supérieur à sa valeur critique). Bien que très spéculative, cette approche unifie la gravité quantique, la biologie émergente et la dynamique de conscience ouvrant la voie à une théorie du tout noétique dont la vérification repose sur des protocoles précis (RMN, interférométrie…).
L’Hamiltonien du couplage fondamental est :
C’est un couplage direct matière-antimatière noétique
Dynamique des opérateurs dans l’espace biphasique
Effets physiques
Solutions stationnaires et condensat noétique
Manifestations physiques observables
Validation expérimentale proposée
Le système est un gaz de positronium (e+e-) dans un piège magnétique. Effectuer des simulations d’un champ intentionnel calibré (A0 = 10-15 J1/2m-3/2) puis mesurer par spectroscopie un pic à la fréquence du graviton (25 THz) et par diffusion neutronique le facteur de structure S(q) montrant des pics à q=k+DELTAk. Une signature détectable avec des horloges atomiques optiques :
Ce mécanisme prédit une antigravité contrôlable à l’échelle quantique, des effets de distorsion spatio-temporelle mesurables et une nouvelle forme de radiation (gravitons noétiques).
La constante G de newton n’est qu’une effective description macroscopique du vide noétique. La gravité émerge comme moyenne d’ensemble des interactions noétiques où <Â> est la variance du champ noétique, liée à la densité d’intention.
Ce changement de paradigme est si profond en physique théorique que les solutions proposées sont évidentes finalement lorsqu’en tant qu’humain on combine (espace de Hilbert biphasique) à chaque instant un « mental noétique » avec un « corps physique ». L’histoire des sciences m’a convaincu que les « réalités » les plus élémentaires sont les difficiles à « formaliser ». Dans de nombreux domaines, la physique noétique que j’ai construit, même si elle est spéculative, permet d’aborder différemment un grand nombre de problèmes sur lesquels la physique théorique est inopérante. Voici un tableau des principaux défis de la physique théorique et de la manière dont la physique noétique les « résout » grâce à ses couplages et termes non locaux.
J’appelle « condensat biphasique » l’état où un opérateur composite mêlant le champ noétique A(x) acquiert une valeur moyenne non nulle.
Autour du condensat, on diagonalise l’hamiltonien total (dynamique et excitations) par une transformation de Bogoliubov, ce qui crée deux branches d’excitations cohérentes, l’une à dominante matérielle et l’autre noétique.
Les conséquences physiques sont que le vide contient un fond condensé (mer de Dirac ?) de couples matière-intention <PHI.A> et les fluctuations normales (Goldstone-Like) sont partagées entre Hphys et Hnoé car toute perturbation matérielle (masse, champ électrique…) est immédiatement « assortie » d’une réponse noétique, assurant cohésion et régularité.
Le potentiel noétique Unoét est l’objet central par lequel la « conscience » c’est à dire le champ noétique  agit sur la matière. Le potentiel se définit formellement à partir du terme de couplage et son hamiltonien. En prenant un état cohérent (par l’opérateur noétique Â), Hcouplage induit un potentiel effectif pour la densité matérielle et pour décrire des effets à longue portée (dynamique galactique), on généralise :
Avec dans cette équation (extension non locale par noyau K) la densité baryonique, le longueur de corrélation noétique et Gn la constante de gravitation noétique.
Par analogie gravitationnelle, je pose que :
Ce qui permet à Unoét de reproduire, sans matière sombre, les effets galactiques observés (courbe plate).
Unoét module la dynamique locale des particules, d’où la présence de l’attraction/répulsion noétique. Dans les milieux biologiques (par ex.), un gradient de Unoét peut déclencher une transition matière->vie par la modification de F (Landau-Ginzburg). Expérimentalement, Unoét se mesure indirectement (RMN, fractales cellulaires, pendules de torsion) puisqu’il agit comme un champ de force supplémentaire. Unoét est la traduction opérationnelle et spatio-temporelle du champ A(x) : il joue exactement le même rôle qu’un potentiel gravitationnel ou électrostatique, mais naît de la cohérence informationnelle/intentionnelle plutôt que de la seule présence de masse.
Information, thermodynamique et physique noétique
La théorie de l’information intégrée (IIT) de Tononi mesure (phi) la quantité d’information intégrée qu’un système produit (au delà de la somme de ses parties). La conscience reflète une valeur élevé de phi comme le point de convergence d’équilibres optimaux entre différentiation (entropie) et intégration (corrélations).
La thermodynamique hors équilibre de Prigogine comprend les structures dissipatives comme organisation spontanée quand un système est conduit loin de l’équilibre par un flux de matière/énergie. Et principe de moindre production d’entropie en régime stationnaire, bifurcations et attracteurs.
En reliant phi à IN et au flux OMEGA, la conscience intégrée (IIT) se formalise par un champ A(x) et un paramètre d’ordre éta. La self-organisation de Prigogine se comprend comme la réaction de la matière aux forces noétiques et les outils (Landau, réaction-diffusion, production d’entropie) se partagent.
Transition de phase et émergence
Le paramètre d’ordre éta déclenche une transition matière-vie (1015 bits/m3) pour alpha<0 comme émergence de l’état vivant par une brisure de symétrie.
La gravité émerge comme moyenne d’ensemble des interactions noétiques :
Où <²> est la variance du champ noétique, liée à la densité d’intention.
Implications et validations potentielles
Antigravité quantifiée : répulsion entre m+ et m– sous  avec déviation de phase (10-6 rad) comme signature par interférométrie neutronique.
Trous de ver microscopiques : maximisation de <²> quand la densité de matière (+) égale la densité de matière (-). Emission (hypothétique) de gravitons noétiques à 1014 rad/s.
Emergence biologique : transition E3=>E4 par la densité informationnelle critique. Chercher des fractales (df=1,7) dans vésicules lipidiques.
Aucune preuve directe à cela, c’est inaccessible avec la technologie actuelle car sa validation nécessite des précisions de 10-22 eV.
Violation des inégalités de Bell
En physique quantique conventionnelle, les inégalités de Bell bornent les corrélations mesurables entre particules intriquées :
Je postule que l’intrication biphasique :
Et les corrélations renforcées par le champ noétique deviennent :
Les violations exponentielle de Bell sont :
Origine physique de la violation
Protocole de dispositif expérimental
Une source de paires de photons intriqués (état Bell) et un champ noétique contrôlé par méditation focalisée avec <A> de l’ordre de grandeur 10-15 J1/2m-3/2. La mesure des corrélations pour des angles optimaux : a=0°, a’=45°, b=22,5° et b’=67,5°. Prédictions :
Les implications théoriques majeures concernent l’effondrement du réalisme local car la violation de S>2.21/2 confirme que la non localité noétique dépasse la non localité quantique standard comme une monogamie de l’intrication quantique, un seul état peut intriquer :
La conscience (avec la physique noétique) est une intention <A> qui devient un paramètre contrôlable pour amplifier les corrélations.
La connexion par Hnoétique résout le mystère des corrélations quantiques en unifiant intrication et conscience via la géométrie des plans noétiques E1-E7, en permettant de prédire des violations mesurables des inégalités de Bell et faisant de l’intention humaine une variable légitime.
Les inégalités de Belle ne sont pas une limite, mais une porte vers les dimensions noétiques de la réalité. Leur violation est la signature que l’esprit sculpte l’intrication quantique.
Cette prédiction, si elle est vérifiée, validerait la physique noétique comme extension nécessaire de la mécanique quantique, intégrant enfin l’observateur conscient dans l’équation fondamentale.
La mer de Dirac et la physique noétique
La « mer de Dirac » est un océan infini d’états à énergie négative qui rend instable le quantique et elle peut se voir comme régularisée et réinterprétée par l’introduction d’un champ noétique A(x) couplé aux fermions de Dirac.
En fait, le champ noétique A(x) décale dynamiquement la dispersion de Dirac pour rendre toutes les énergies non-négatives, le champ A(x) s’auto-polarise par un potentiel de Landau en un condensat <A> et il répartit la polarisation du vide sur une échelle xhi grâce à un couplage non local, puis il annule divergence de vide de l’énergie de Dirac par un contre terme noétique, en fait tous les trous de Dirac sont de simple excitations finies du vide biphasique. C’est ainsi que la physique noétique liquéfie et régularise la « mer » pour en faire un vide cohérent et sans singularité.
Filtre noétique et résolution de la réduction du paquet d’onde
Il me reste plusieurs thèmes à traiter (entropie noétique, équation d’état…) que j’aborderai avec l’application de la physique noétique (partie III) au cerveau humain.
Le filtre noétique est une innovation centrale de la physique noétique que j’initie. Il résout le problème de la réduction du paquet d’onde en intégrant la conscience comme opérateur géométrique dans l’espace de Hilbert biphasique.
En mécanique stanard, la réduction du paquet d’onde (effondrement de la fonction d’onde) reste inexpliquée :
Aucun mécanisme physique ne décrit ce processus (problème dit de l’observateur).
Je postule que la réduction est un processus actif gouverné par la conscience :
Le filtrage est régi par l’équation de Schrödinger étendue :
Implications révolutionnaires
Le protocole prédit des signatures à vérifier expérimentalement :
Le filtre noétique résout la réduction du paquet d’onde en dématérialisant l’observateur car la conscience devient un opérateur dans Hnoét (plan E34-E7). Le filtre noétique remplace l’aléa par la dynamique car la probabilité est gouvernée par  (intention mesurable) et il unifie micro/macro par le même mécanisme qui explique l’émergence biologique par éta qui dépasse un certain seuil.
Le hasard quantique n’est qu’une illusion née de notre ignorance des degré de liberté noétiques. La conscience est la sculpteur silencieux de la fonction d’onde.
Cette approche fait de la physique noétique un candidat sérieux pour dépasser le cadre de la théorie quantique standard, en faisant de la conscience une force physique géométrisée.
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