Convergences Cosmologiques et Noologiques (I)

La noologie (théosophie) concerne la Sagesse de Dieu et la Volonté divine invoquée par le Règne Humain depuis la nuit des temps (le Souffle du Logos). La Théosophie contemporaine débute avec les travaux d’Helena Petrovna Blavatsky à la fin du XIXe siècle. La Science rationnelle est riche en données expérimentales, elle cherche à expliquer les phénomènes manifestés sur notre plan physique en qui nous avons la vie, le mouvement et l’être c’est à dire relater notre présence sur Terre. Et les lois de la matière condensée ne sont pas les mêmes que celles concernant le plasma de notre étoile le Soleil. Car la science est aussi divergente dans certaines parties de ses connaissances (matière-énergie noire), voire paradoxale dans des expériences de pensée. La théosophie est une « philosophie expérimentale » plutôt qu’une science, la théosophie analyse l’énergie lorsque la science s’efforce de comprendre la matière.

La Monade

La théosophie s’efforce de conceptualiser la « science de l’énergie ». De gnosis au savoir, de l’holisme au réductionnisme, je choisis Leibniz à citer en premier car il est connu avec les procès sans fin qui l’opposait au grand Newton (75% de ses écrits/recherches concernent l’Alchimie) :

La monade n’est autre chose qu’une substance simple, qui entre dans les composés ; simple, c’est à dire sans partie.

{Au 3e alinéa, par rapport à la nature} Or, là où il n’y avait point de partie, il n’y a ni étendue, ni figure, ni divisibilité possible. Et ces monades sont les véritables atomes de la nature et, en un mot, les éléments des choses. […] Ainsi, on peut dire que les monades ne sauraient commencer ni finir que tout d’un coup, c’est à dire qu’elles ne sauraient commencer que par création et finir que par annihilation ; au lieu que ce qui est composé commence ou finit par parties.

Monadologie, Leibniz (1714)

Pour Leibniz, les monades sont des sortes de points métaphysiques sans forme ni taille et elles doivent se différentier (qualités distinctes) pour engendrer des formes. Les causes externes n’agissent pas sur les monades qui sont mues par des causes internes. La perception est l’état de relation de chaque monade avec les autres monades et appétition le procédé interne qui fait passer d’une perception à une autre. Par ce discernement conceptuel, Leibniz divise les monades en trois catégories :

  • les monades n’ayant que perception sans conscience
  • les monades dont la perception s’accompagne de conscience (comme les animaux)
  • les monades incluant le raisonnement, ce qu’il nomme âme raisonnable ou esprit (comme les humains)

Pour la théosophie orientale, la monade désigne la triade unifiée Atma-Bouddhi-Manas, ou la duade Atma-Bouddhi c’est à dire la « partie immortelle » dans l’homme qui se réincarne jusqu’au but final, le Nirvâna (état de conscience absolue).

Tétraktys (grec) ou la tétrade – Le « Quatre » par lequel juraient les Pythagoriciens. C’est l’Unité ou le « Un » sous quatre aspects différents. La tétrade (4) contient la décade (10) le nombre de la perfection. C’est aussi la triade primordiale absorbé dans la Monde divine. Kircher, dans son OEdipus AEgyptiacus donne le nom ineffable I H V H (l’une des formules cabalistiques des 72 noms) arrangé sous la forme d’une tétrade pythagoricienne.

Glossaire Théosophique, HP Blavatsky

On peut schématiser la compréhension de la Tétraktys par la relation : « 1=4=10 » ; pour les points ci-dessous alignés (en bleu) , chaque point compte pour une unité (1), on en compte (10) qui sont réparties dans un triangle sur (4) niveaux. D’où l’écriture symbolique 1=4=10

M. I. Meyer représente ainsi la tétrade pythagoricienne :

Diagramme du Plérôme selon Basile VALENTIN (1394-1450)

Premièrement le point, la Monade, Bythos (l’insondable), le père inconnu et inconnaissable. Puis le Triangle, Bythos et la première paire émanée ou Duade. Nous (le Mental) et syzygie Aléthia (la Vérité). Puis le Carré, la double Duade, le Quaternaire ou Tétraktys. Deux facteurs masculins (lignes verticales), le Logos (Mot), et Anthropos (l’Homme), deux facteurs féminins, leurs syzygies = Zoé (Vie) et Ecclésie (Eglise ou assemblée) sept en tout. Le Triangle, le Potentiel de l’Esprit, le Carré, le Potentiel de la matière, la ligne droite verticale, la Puissance de l’Esprit, la ligne droite horizontale, la Puissance de la Matière. Vient ensuite le Pentacle ou étoile à cinq branches, le mystérieux symbole des Manasaputras ou Fils de Sagesse, qui, avec leurs syzygies font dix, ou le Décaèdre ; et le dernier de tous l’Hexaèdre (triangles entrelacés), qui avec ses syzygies font douze ou le Dodécaèdre

Traité sur le Feu Cosmique, DK

L’analyse symbolique est typiquement holistique puisqu’elle associe, par analogies, des correspondances entre les plans différentiés de l’Esprit (énergie) à la Matière. Les chiffres ont leur importance et lire ou relire la biographie de Khwarizmi pour comprendre le cheminement (de l’orient vers l’occident) du système positionnel numérique (10) nous venant d’Inde.

Purusha (sanskrit) : Le « Soi Spirituel », l’Esprit identique à Nârâyana sous un autre aspect.

Samkhya (sanskrit) : Système de philosophie fondé par Rishi Kapila. C’est un système de métaphysique analytique, l’un des 6 Darsanas (écoles de philosophie). Il traite des catégories numériques et des phénomènes de la nature par l’interaction de 24 éléments avec Purusha (l’esprit) pour former les 24+1=25 tattvas (les forces de la nature).

Pakriti (sanskrit) : La nature en général par opposition à Purusha. Ce sont les « deux aspects primordiaux de la Divinité Une et Inconnue »

Pralaya (sanskrit) : Une période d’obscuration ou de repos (planétaire, cosmique ou universelle), c’est le contraire du Manvantara (D.S. II,80)

Glossaire Théosophique, HP Blavatsky

Tous les systèmes de philosophie identifient deux facteurs : l’Esprit et la Matière (Purusha et Pakriti). Il faut distinguer qu’avant la manifestation (avant la naissance du système solaire) il s’agit d’Esprit et de Matière. Pendant la manifestation de cette Duade (après le pralaya), les termes « vie et formes », « conscience et ses véhicules », sont alors plus exact que « esprit et matière ». Car pendant la période d’abstraction (pralaya) entre deux systèmes manifestés (dans le temps), la conscience n’existe pas ni la vie comme principe véritable. D’ailleurs le temps (en théosophie) n’est qu’une illusion, celle de la succession de ses états de conscience. La science dure, la physique fondamentale couronne cette idée sur le temps avec le Prix Nobel (05/10/2022) qui valide la non séparabilité quantique, c’est à dire l’intrication (communication entre deux particules physiques) qui supprime les notions d’espace et de temps.

Lire ou relire :

Références bibliographiques (Noologie)

Religion, philosophie, sagesse

Théosophie contemporaine

Voir le site https://www.girolle.org/telecharger/index.html

(2009) Le monde énergétique du monde et de tous – audio 1 (LC, France)

(2009) Le monde énergétique du monde et de tous – audio 2 (LC, France)

Escapade poétique (Par le Philosophe Inconnu)

J’aime à porter mes pas dans l’asile des morts. Là, mourant au mensonge, il me faut moins d’efforts pour comprendre leur langue et saisir leur pensée, car les morts ne l’ont pas, cette idée insensée, que tout s’éteint dans l’homme. En eux, tout est vivant, pour eux, plus de silence. Autour d’eux l’on entend les sanglots du pêcheur ; les fureurs de l’impie ; les cantiques du sage ; et la douce harmonie de ceux dont l’amitié, le zèle et la vertu n’ont formé qu’un seul cœur pendant qu’ils ont vécu.

Homme, c’est ici-bas qu’il a pris la naissance, ce néant où l’on veut condamner ton essence ; et c’est ta propre erreur qui lui sert de soutien. Tu sait tout ! tu peux tout ! et tu peux n’être rien !… N’être rien !… et saisir et juger la lumière !… Laisse à l’homme égaré ces rêves de la Terre : nous n’étions qu’assoupis dans nos corps ténébreux. Quand le temps nous arrache à leurs débris fangeux, l’heure qui nous réveille est une heure éternelle. Oh ! juste, quels transports ! quelle splendeur nouvelle : tu prend un autre corps, au creuset du tombeau ; un vif éclat, toujours plus brillant et plus beau ; un coup d’œil plus perçant ; une voix plus sonore ; un cœur même

Le Cimetière d’Amboise par le Philosophe Inconnu (Louis-Claude Saint-Martin, France)

Les 7 Plans Cosmiques en théosophie contemporaine

Diagramme d’un Logos Solaire – Traité sur le Feu Cosmique, DK

Tout en haut du diagramme figure un Parabrahman Cosmique symbolisé par un Triangle sur le PLAN I le plus énergétique de l’existence en manifestation : c’est le plan ADI COSMIQUE.

Tout en bas du diagramme, il y a le PLAN VII, c’est le plan le moins énergétique de l’existence donc le plus matériel : c’est le plan PHYSIQUE COSMIQUE.

Entre le plan I ADI COSMIQUE et le plan VII PHYSIQUE COSMIQUE il y a 5 autres plans cosmiques

Le plan II MONADIQUE COSMIQUE

Le plan II est schématiquement représenté par 7 cercles contenant chacun 7 triangles ce qui donne 49 triangles (49×3=147). Dans chaque cercle (10), il y a 7 triangles (3) donc symboliquement 7×3=21 « éléments d’influence » dans un cercle, une « unité combinante ». L’analyse numérique en théosophie est symbolique c’est à dire que ces 21 éléments sont contenues dans une « unité circulaire » : 21+1=22. Et comme il y a 7 cercles qui schématise le plan II MONADIQUE COSMIQUE on a :

  • Soit (49×3)+7=147+7=154
  • Soit (21×7)+7=147+7=154
  • Soit 22×7=154 éléments en interaction, les résultats sont les mêmes mais l’approche symbolique est différente.

Et l’addition théosophique nous permet d’écrire : 147=1+4+7=12, le dodécaèdre, le symbole de l’Univers pour les Pythagoriciens ou 154=1+5+4=10 le symbole de la perfection circulaire des astres dans le Kosmos.

Lire ou relire :

Le plan III ATMIQUE COSMIQUE

Le plan III est « simple », il n’y a que des traits qui relient les plans cosmiques II et IV.

Le plan IV BOUDDHIQUE COSMIQUE

Le plan IV contient 7 triangles (7×3=21) associés symboliquement en Inde au 7 Rishis de la Grande Ourse qui représentent les 7 centres d’un Logos Solaire.

Le plan V MENTAL COSMIQUE

Le plan V est traversé par 7 lignes (flux d’énergie) et il contient un triangle nommé Corps causal d’un Logos solaire qui relie par 3 traits pointillés les plans inférieurs en transitant par le plan VI pour atteindre le sous-plan le plus haut du plan VII.

Le plan VI ASTRAL COSMIQUE

Comme pour le plan III, le plan plan VI ne contient que peut d’informations uniquement des traits (flux d’énergie) qui y circulent.

Le plan VII PHYSIQUE COSMIQUE

Le plan VII est plus détaillé que les plans précédents car il concerne le plan PHYSIQUE COSMIQUE et en tant qu’humain doté d’un corps physique et d’une conscience, nous sommes plus près de ce plan que du plan MONADIQUE COSMIQUE. Mais comme un « reflet fractalisé », le plan PHYSIQUE COSMIQUE est décomposé en 7 sous-plans qui conservent la même terminologie et l’ordre des plans cosmiques. Le sous-plan 1 du plan physique cosmique (le plus haut) se nomme Logïque ou Adi, et le sous-plan 7 tout en bas du plan physique cosmique se nomme « sous-plan physique » lui même décomposé en 7 niveaux (sous-sous-plan). J’y reviendrai plus précisément pour situer ICI mes travaux entre les atomes ultimes (ANU) en théosophie et les atomes ou le modèle standard des physiciens.

Au niveau du plan physique cosmique, il y a 3 cercles non concentriques et des triangles à différents niveaux. Les trois cercles sont tangents à la première ligne du dernier sous-plans, le 7e tout en bas du diagramme nommé Solide. Les trois cercles ne possèdent pas le même diamètre, le premier s’étend jusqu’au milieu du sous-plan Mental du plan physique cosmique. Le deuxième cercle part également d’en bas mais son diamètre s’étend jusqu’au bas du sous-plan Monadique et le plus grand cercle atteint le haut du sous-plan logoïque du plan physique cosmique.

On constate également sur le diagramme :

  • 3 triangles dans le sous-plan Logoïque
  • 7 triangles dans le sous-plan Monadique (une monade humaine)
  • 1 triangle à cheval sur les sous-plans Atmique et Bouddhique. Par rapport à la représentation géométrique des autres triangles (base horizontale), ce triangle nommé Triade Spirituelle possède une base verticale.
  • 1 triangle (de petite taille) situé juste au dessus du plus petit cercle des 3. Ce triangle est nommé Corps causal humain.
  • 3 points reliés par une ligne pointillée dont un point est situé au sous-plans 7 (1er éther du plan physique), l’autre est positionné au sous-plans 14 (1er éther du plan astral) et le dernier juste en dessous du « petit cercle » sur le sous-plans 18 (4e éther du plan mental).

Symboliquement, en théologie contemporaine, le « petit cercle » se nomme la Personnalité humaine (corps, émotions, pensées), le « moyen cercle » centré sur le Corps causal est l’Âme humaine et le « grand cercle » correspond à l’Esprit.

C’était dur d’en arriver là pour expliquer (très succinctement) le langage symbolique de ce diagramme théosophique d’un Logos Solaire. Mais je peux maintenant focaliser sur certains niveaux qui me préoccupent, en utilisant ce plan général d’une terminologie aboutie, pour expliciter les convergences entre la théosophie et la science.

Plans et sous plans d’un Logos Solaire

Diagramme : Logos d’un système solaire – The théosophist, 1900

Parabrahman

La valeur d’un nombre est symbole en Inde, depuis la nuit des temps et le chiffre 7 y domine toute structure de la vision du monde (Univers) qu’ils avaient. En effet, 7x7x7=343, le nombre 343 représente le « nombre de plans » pour passer de la matière grossière (masse) à Dieu (énergie). La théosophie contemporaine détaille amplement cela pour focaliser sur le « plan E4 » c’est à dire le 4ième sous-plan du plan physique qui en contient 7. Il y a 7 plans cosmiques décomposés en 7×7 sous plans éthériques donc 343 sous-plans dans la structure mathématico-symbolique du Kosmos des anciens intellectuels de l’Inde.

Structure septénaire de l’Univers (Parabrahman=Dieu) et analogies ternaires entre certaines religions et/ou philosophies

Diagramme : PARABRAHMAN, Traité sur le Feu Cosmique, DK (théosophie contemporaine)

Nous sommes bien bas, sur Terre et dans ce schéma général du Kosmos. Justement, le schéma de la Terre montre une complexité à déchiffrer mais on peut en sortir quelques généralités.

Détail du schéma de la Terre (Traité sur le feu Cosmique, DK)

Le schéma de la Terre n°4 (le grand cercle) contient 4 petites sphères reliées par leur centre, dans un carré. Au quatre sommet du carré, il y a des figures complexes (sauf pour Jupiter et Neptune) inscrites dans chaque cercle symbolisant une chaîne planétaire (flux d’énergie qualitatif) :

  • 6e chaîne (Mars)
  • 5e chaîne (Mercure)
  • 4e chaîne (Terre)
  • 3e chaîne (Saturne)

Au centre du carré, il y a 3 autres cercles représentant :

  • 7e chaîne (Jupiter)
  • 1e chaîne (Neptune)
  • 2e chaîne (Vénus)

Les Écoles planétaires (Traité sur le Feu Cosmique, DK)

URANUS

L’école de Magie du dixième ordre. Uranus est parfois appelé « planète de la force violette » et ses diplômés manient le pouvoir du prana éthérique cosmique.

TERRE

L’école de Réponse Magnétique. Un autre nom donné à ses élèves est « Les diplômés de l’effort douloureux » ou les « arbitres entre les opposés polaires ».

Une autre indication à noter, en relation avec les deux noms ci-dessus, est que ces diplômés subissent leur examen sur le troisième sous-plan du plan astral

Vulcain

L’école des Pierres de Feu. Il existe une curieuse relation entre les unités humaines qui passent dans ses salles d’enseignement et le règne minéral. Les unités humaines du schéma de la Terre, en langage mystique sont appelées « les pierres vivantes » ; Sur Vulcain elles sont appelées les « pierres de feu ».

Ces planètes incorporent les reconnaissances et les réactions qui conditionnent la conscience de l’homme lorsqu’il se prépare à quitter la Croix Mutable et à monter sur la Croix Fixe. De ce fait, il tombe :

  1. par Vénus – sous le pouvoir du mental, transmué en sagesse par le truchement de l’amour.
  2. par la Lune – sous la servitude de la forme afin que, par l’expérience, il atteigne la libération et à l’élévation de la matière en Vulcain.
  3. par la Terre – sous l’influence de l’expérience planétaire (différente de l’expérience individuelle) afin de transmuer sa conscience personnelle en conscience de groupe.
  4. par Pluton – sous le pouvoir destructeur de la mort – mort du désir, mort de la personnalité et de tout ce qui la maintient entre les paires des opposés, afin d’atteindre l’ultime libération. Pluton ou la mort ne détruit jamais l’aspect conscience.
Astrologie Ésotérique (DK)

Jupiter

L’école des magiciens bénéfiques. Cette planète est quelquefois appelé, en jargon des écoles, « l’Universalité des unités de Quadruple Force », car ses membres manient quatre sortes de force dans leur travail magique constructif : Un autre nom donné à ses salles est « le palais de l’Opulence » car ses diplômés travaillent avec la Loi d’un Approvisionnement, et sont fréquemment appelés « les Semeurs ».

Mercure

Les élèves de cette école planétaire sont appelés « Les Fils de l’Aspiration » ou « Les points de Vie Jaune ». Ils sont étroitement liés à notre schéma terrestre et l’ancien Commentaire en parle en ces termes :

Les points de flamme dorée s’unissent et se fondent avec la plante à quatre feuilles d’un vert tendre et chantent sa couleur en une teinte jaune automnale. La plante à quatre feuilles, grâce à l’influx frais et nouveau, se transforme en plante à sept feuilles et trois fleurs blanches. »

Vénus

L’école des cinq Degrés rigoureux. C’est encore un schéma planétaire étroitement lié au nôtre, mais son Logos planétaire est dans un groupe d’étudiants plus avancé, au sens cosmique, que notre Logos planétaire. La plupart de ses instructeurs hiérarchiques viennent du cinquième plan cosmique et sont un groupe particulier de Manasadévas de rang très élevé. Ils sont décrit dans les archives de notre Hiérarchie comme tenant chacun un trident de feu, surmontés de cinq émeraudes vertes.

Mars

L’école des Guerriers, ou degrés ouverts aux soldats. Quatre de ces écoles planétaires sont responsables de l’énergie circulant chez les représentants de premier plan des quatre castes, et ceci non seulement en Inde mais dans toutes les parties du monde. On dit que ses instructeurs sont des « Diplômés du Feu rougeoyant » et ils sont fréquemment représentés vêtus de robes rouges et tenant un bâton d’ébène. Ils travaillent selon le premier Aspect logoïque et instruisent ceux dont le travail est dans la ligne du destructeur.

Neptune

Cette école s’occupe de développer et nourrir l’élément de désir et ses diplômés sont appelés « Fils de Vishnu ». Leur symbole et une robe avec un navire toutes voiles dehors, dessiné sur le cœur, dont la signification apparaîtra à ceux qui ont des yeux pour voir.