Énergie, Plasma et Psyché

La seule source d’énergie (macroscopique) extérieure à la Terre nous provient du Soleil. Les réactions photochimiques du règne végétal (création d’O2) permettent au règne animal et humain de vivre. L’éclairage d’une maison transforme l’énergie électrique en rayonnement. Le Soleil est une boule de plasma qui nous transmet sa lumière et sa chaleur. Le mental humain est une boule de neurones qui transportent l’information par un déplacement de charges électriques, c’est le pompage sodium-potassium. L’objectif est d’analyser les modèles (physique et cognition) par l’approfondissement des variables et les données empiriques pour établir des liens entre les plasmas, le 4ième sous-plan du plan physique et l’émergence de la pensée dans le système cognitif.

L’énergie

L’énergie est au cœur de l’explication du monde. Les multiples transformations de l’énergie révèlent les liens entre les différents systèmes chimiques, thermodynamiques, mécaniques…

Energie mécanique

L’énergie mécanique (classique) est égale à la somme de l’énergie potentielle et de l’énergie cinétique. Une force dérive d’une énergie potentielle. Il y a conservation de l’énergie totale d’un système.

Mécanique quantique

La mécanique quantique introduit une dualité onde-particule. A chaque particule (quantité de mouvement et énergie) est associé une onde (fréquence et vecteur d’onde) et cela fonction dans les deux sens : relation de planck (onde==>particule) et relation de De Broglie (particule==>onde). En mécanique quantique, l’énergie caractérise l’état physique du système. Les niveaux d’énergies électroniques sont quantifiés. Dans une réaction chimique, il y a réarrangement électronique et le système se retrouve dans un état d’énergie différent (dégagement ou absorption de chaleur par exemple).

Mécanique relativiste

Lorsque la vitesse de déplacement d’une entité est proche de celle de la lumière, la mécanique classique ne s’applique plus au système. La mécanique relativiste (Einstein) permet de remettre en cause les notions de distance, d’intervalle de temps et de simultanéité. L’équivalence de la masse et de l’énergie permet d’écrire E=mc². Les réactions nucléaires peuvent libérer de grandes quantité d’énergie cinétique. On remarque qu’il n’y a pas conservation des masses au repos : la masse absolu du noyau n’est pas (exactement) égale à la somme des masses de toutes les particules qui constituent le noyau atomique. C’est un problème d’où la notion d’énergie de liaison qui représente l’énergie cinétique libérée par la désintégration complète du noyau en ses nucléons constituants. La répartition de l’énergie de liaison en fonction des masses atomiques révèlent qu’ils existent deux types de réactions nucléaires : la fission et la fusion avec une énergie de liaison maximale pour le fer (A=56).

La fission de l’uranium 235 libère 200 MeV par noyau (0,8×109 J/g d’uranium). La fusion de 4 noyaux d’hydrogène en un noyau d’hélium libère 25 MeV. La physique atomique et moléculaire correspond à des énergies de quelques eV.

Unités de mesure

La science mesure l’énergie en joule noté J. L’énergie peut se manifester sous différentes formes : mécanique, électrique, rayonnante… L’objectif est d’analyser la notion d’énergie psychique à partir des connaissances en sciences physique et chimique. Les grandeurs thermodynamiques (énergie de transformation systémique) se mesurent aussi en joule (par mole ou par Kelvin) comme pour l’enthalpie qui a la dimension d’une énergie (J), l’entropie (J/K)… Dans le système international des unités, le joule est une association théorique qui s’exprime par la multiplication des dimensions de « Masse », de « Longueur au carré » et de « l’inverse du Temps au carré ». On peut imaginer la difficulté pour computer la notion d’énergie en physique et la transposer dans le domaine du psychisme.

Énergie rayonnée

Une onde (perturbation de proche en proche) transporte de l’énergie mais pas de matière. L’onde lumineuse (électromagnétique) n’a pas besoin de matière pour se propager contrairement à l’onde sonore qui ne se propage pas dans le vide. Des charges et courants électriques créent dans l’espace environnant un champs électrique E et une induction magnétique B (théorie ondulatoire de la lumière). La densité d’énergie U (par unité de volume) dépend des caractéristiques du matériau (permittivité et perméabilité) où règnent les champs. L’énergie électromagnétique se conserve et celle qui sort d’une surface par unité de temps (divS avec S le vecteur de Poynting) est égale à la diminution d’énergie emmagasinée par unité de temps moins l’énergie dissipée à l’intérieur de la surface. La gamme des ondes électromagnétiques s’étend des basses fréquences (courant industriel à 50 Hz) jusqu’au rayon X et gamma.

Interaction rayonnement-matière

La matière peut absorber la lumière. La matière peut rayonner de la lumière. Un atome ne rayonne qu’une fréquence électromagnétique qu’il est capable d’absorber. E2-E1=hf avec h la constante de Planck et E l’état énergétique du système physique (matériel). Le quantum d’énergie E (valeur discrète) est un photon, de masse nulle qui se déplace à la vitesse de lumière (3×10^8 m/s dans le vide). Une réaction photochimique concerne le changement d’état énergétique d’une molécule provoque un changement de structure électronique : synthèse de molécules organiques par les plantes et équilibre biologique de la Terre.

Chaleur et thermodynamique

A l’échelle microscopique, l’énergie interne d’un système est égale à la somme de l’énergie cinétique des particules plus l’énergie potentielle concernant l’interaction des particules entre elles. Les variables macroscopiques sont : volume, masse, pression, température, indice de réfraction… L’énergie interne d’un système à l’équilibre est une fonction mathématique des variables macroscopiques d’état.

Travail W

Le travail, en sciences physiques et chimiques, est un vieux concept de perception des échanges énergétiques (ordonnés) entre un système (isolé) et son environnement. Le « travail électrique » reçu par un système pendant un temps dt est : dW=UIdt. Un fluide occupant un volume V est soumis à une pression extérieure p, si le volume varie de dV, le travail reçu par le système est dW=-pdV.

Chaleur Q

La manière la plus simple pour élever l’énergie d’un système (chaleur Q) c’est d’augmenter sa température. La chaleur est une énergie (en J), la température est une variable macroscopique correspondant à l’agitation cinétique des particules constituant le corps. Premier principe de la thermodynamique : U2-U1=Q+W

Plasma

Les 4 états de la matière

L’augmentation de l’énergie apportée à un SOLIDE (+dE) permet de le faire passer à l’état LIQUIDE (+dE) puis GAZ (+dE) pour finir sous la forme de PLASMA. Un plasma n’est pas un gaz neutre, un plasma est sensible aux forces électromagnétiques car il est chargé électriquement. On peut produire un plasma de densité finie par le mécanisme d’avalanche électronique. Une réaction nucléaire, par analogie, est produite par un mécanisme d’avalanche neutronique.

Définition : un plasma est un mélange quasi-neutre de particules chargées et caractérisées par un comportement collectif.

Image (Koening, LULI, CNRS). Radiographie (fausses couleurs) d’un plasma généré par une impulsion laser, zone turbulente à 60 ns

L’électron (fermion et statistique de Fermi-Dirac) est au cœur du mécanisme de formation des plasmas puisqu’il transforme un atome neutre en ion en générant un autre électron et ainsi de suite (avalanche électronique). Sachant que l’électron (en physique) ne correspond pas à la réalité décrite (voir électron part. 1) lorsqu’on visualise la structure éthérique de l’atome d’hydrogène et de son ion H+ ; Je commence par prendre la mesure du niveau de Fermi pour établir d’autres liens entre la physique et la chimie occulte. La statistique d’occupation des niveaux d’énergie (fermion) est binaire, la représentation graphique de la fonction mathématique est de la forme :

f(x) = 1/(1+exp(x))

Lorsque x tend vers « les nombres négatifs » la fonction tend vers 1 (les états d’énergies sont occupés) et lorsque x tend vers les nombres positifs, la fonction tend vers zéro (les états d’énergie sont inoccupés). Dans la statistique de Fermi-Dirac, la variable x correspond à la différence entre l’énergie E moins le potentiel chimique des électrons. Il y a l’énergie effective de l’électron et son potentiel chimique. Avec (niveau de Fermi) x=(E-µ)/kT.

Définition : le potentiel chimique « µ » d’une entité chimique correspond à la variation d’énergie du système considéré comme thermodynamique en fonction de la quantité « n » de cette entité dans le système (dE/dn).

Le nombre n d’espèce chimique se mesure en mole et l’énergie en Joule. L’unité de mesure du potentiel chimique est en J/mol. Les énergies considérées (potentiels) dans un système thermodynamique sont :

  • Energie interne U : variation du volume et de l’entropie avec la pression et la température constante
  • Energie libre F : variation du volume et de la température avec la pression et l’entropie constante
  • Enthalpie H : variation de la pression et de l’entropie avec le volume et la température constante
  • Enthalpie libre G : variation de la pression et de la température avec le volume et l’entropie constante

Le potentiel chimique µ est donc définie en tant que dérivée partielle d’un des quatre potentiels thermodynamiques U, F, H et G). Les différentes mesures associées à un système thermodynamique sont :

  • Volume V : grandeur scalaire extensive
  • Entropie S : fonction d’état extensive qui dépend de la masse ou du volume de matière
  • Pression P : grandeur scalaire intensive
  • Température T : grandeur scalaire intensive. La température est relative à l’agitation (translation et vitesse quadratique) des particules en mouvement (théorie cinétique des gaz 3/2 kT = 1/2 mv²)
  • Quantité de chaleur Q : quantité extensive en Joule.

Classification des plasmas

Basic Plasma Physics, Beryl Browning 2008

Sur ce diagramme, les droites particulières sont :

  • kT = mc²
  • kT = Ef (énergie de fermi proportionnel à quantité d’entité chimique n à la puissance 2/3
  • Nd = 1 avec Nd le nombre de charge dans la sphère de Debye
  • kT = 1 eV

Selon le type de réacteur utilisé pour générer des plasmas, les densités électroniques (ou ioniques) observées sont de l’ordre de 109 à 1012 particules par cube. Ces densités sont très faibles par rapport à la densité des neutres qui représentent les espèces majoritaires. Dans la plupart des plasmas froids, les taux d’ionisation (alpha) sont très faibles (de 10-5 à 10-1) (Nchargé << Nneutre). Pour un plasma chaud (température de l’ordre du keV), le plasma est complètement ionisé (alpha=1). Les plasmas naturels sur Terre sont les éclairs, les aurores boréales ou l’ionosphère. Le soleil génère un plasma très conducteur (vent solaire) qui se déplace à quelques centaines de km/s dans l’espace interplanétaire.

Les plasmas permettent de comprendre et de développer de nouvelles applications en faisant le lien entre l’énergie électromagnétique et les énergies cinétique, lumineuse et chimique.

Vidéo : A travers la couronne solaire

La psyché

La psyché concerne toutes les manifestations conscientes ou inconscientes de l’homme, la femme, l’enfant… Le terme psyché vient du grec psukh- (psych-) lui même issu de psukhê (souffle, respiration, haleine) transposé à la notion de force vitale et de vie sentie comme le « souffle de l’âme » reflétant les pensées, les émotions, les désirs… La psychologie représente donc l’étude, le discours (logos pour -logie) de « l’âme humaine » (psycho-). On peut parler des heures sur la notion de psyché et remonter aux sources (selon les époques et les lieux sur le globe terrestre) pour essayer de comprendre le sens profond de « l’énergie vitale » associée depuis toujours dans de nombreuses civilisations à « l’âme humaine ». Mais je ne souhaite pas vous faire un résumé mais plutôt enjamber cela pour aborder directement les liens à tisser entre la physique théorique et les sciences cognitives.

Pompage sodium-potassium

Décompte des entités chimiques

Les flux d’énergie dans un neurone sont à étudier correctement et je compte m’y atteler. Les différences de potentiels sont significatives sans doute mais je m’intéresse surtout à la densité relative des particules pour identifier (hypothèse) les mouvements neuronaux à un plasma (froid). Pour établir ces liens, il faut transgresser la pensée unique et les modèles déjà créer sans les négliger. La masse moyenne du cerveau humain = 1,4 kg. Il y a 76% d’eau dans le cerveau. La masse molaire de l’eau est de 18 g/mol. Soit 77,7 mol (au moins) qui correspond à 4,7×1025 entités chimiques. C’est un ordre de grandeur, sachant que les 25% restant de particule sont plus lourdes que l’eau (faut voir avec la quantité de graisse, de sels minéraux…), il y a moins d’entités chimiques au total. Mais qu’importe les pinaillages ! Si je prend :

  • 4.1025 entités c’est bien (25 zéros). Quel est le nombre de neurones dans le cerveau humain ? Disons 100 milliards de neurones soit 1011 entités dans le système nerveux avec 30% dans le cerveau . Chaque neurone établit 7000 connections synaptiques qui forment 7×10 puissance 14 connections en tout (7.1014). Quel est nombre d’entités chimiques dans un neurone humain ? Le diamètre (du corps) des neurones est compris entre 5 et 120 µm. L’axone (fibre nerveuse) à un diamètre compris entre 1 et 15 µm.
  • La différence de potentiel de la membrane cellulaire tend vers le potentiel des ions K+ (EK+=-90 mV).
  • Il y a plus de canaux potassiques ouverts que de canaux sodiques et le potentiel au repos (moyen et global) est proche de -60 mV (ENa+=83 mV).
  • Le volume du cerveau humain est de 1600 cm cube et 1,5 kg soit environ 9×10 puissance 29 nucléons qui correspond à 1,6×10 puissance 31 atomes ultimes (ANU).
  • Dans un neurone, les concentrations sont les suivantes :
    • Potassium K+ intra=140 mol/L et extra=5 mol/L
    • Sodium Na+ intra=10 mol/L et extra=145 mol/L
    • Chloruer Cl- intra=15 mol/L et extra=110 mol/L
    • Calcium Ca2+ intra=0,0001 mol/L et extra 1,5 mol/L
  • L’influx nerveux se déplace dans un neurone (du corps cellulaire vers le bouton synaptique en passant par l’axone)
  • La différence de potentiel dans un neurone résulte de la différence de concentration en ions entre l’intérieur et l’extérieur. L’influx nerveux se caractérise par une modification instantanée et localisée de la perméabilité du neurone.
    • Dépolarisation d’un neurone : des Na+ pénètre (+35 mV)
    • repolarisation d’un neurone : des K+ sortent de la cellule (potentiel de repos=-60 mV)
  • L’influx nerveux est un potentiel d’action. (pompe ionique ATP)
  • Durant les 4 premiers mois de la vie embryonnaire, il se forme environ 500.000 neurones par minute.
  • Le cerveau représente 5% de la masse corporelle et il consomme 20% de l’oxygène utilisé par le corps.

Le cortex cérébral

https://www.msdmanuals.com/fr/professional/troubles-neurologiques/fonction-et-dysfonctionnement-des-lobes-c%C3%A9r%C3%A9braux/
  • Aires primaires sensitives : stimuli somesthésiques, auditifs, visuels et gustatifs du thalamus (les 5 sens).
  • Cortex moteur primaire : mouvement volontaire, planification et exécutions des activités motrices complexes.
  • Les aires associatives hétéromodales des lobes frontaux, temporaux et pariétaux intègrent les données sensorielles, le rétro-contrôle moteur et les autres informations liées aux souvenirs spontanés et acquis.
    • Lobes frontaux : planifications, fonctions exécutives et les comportements sociaux.
    • Lobes pariétaux : Stimuli somesthésiques (reconnaissance et rappel de la forme, de la texture et du poids), connexions visio-spatiales, trajectoire des objets en mouvement, proprioception, capacités de calcul, d’écriture, relations entre corps et environnement, la perception de l’espace…
    • Lobes temporaux : perceptions auditive, langage, mémoire visuelle, factuelle, les émotions…
    • Lobes occipitaux :
    • Insula :
    • Lobe limbique :

Hypothèses de travail

Le 4ième sous-plan du plan physique

L’objectif étant d’associer les concepts de la science théorique avec les notions naissantes en sciences cognitives, le référentiel à choisir est essentiel pour le travail à fournir. Il me semble évident maintenant de choisir la structure des « plans » de la manifestation visible et invisible en théosophie contemporaine (HPB et AAB) :

  1. Plan physique (du 1er au 7ième sous-plan)
    • Etat solide : 1er sous-plan du plan physique
    • Etat liquide
    • Etat gazeux
    • Etat plasma (éther IV) : 4ième sous-plan du plan physique
    • Ether III
    • Ether II
    • Ether I
  2. Plan émotionnel (du 8ième au 14ième sous-plan)
  3. Plan mental (du 15ième au 21ième sous-plan)
  4. Plan de l’intuition
  5. Plan spirituel
  6. Plan monadique
  7. Plan divin

Si tous les plans (physique, émotionnel, mental…) contiennent 7 sous-plans (Solide, liquide, gazeux…) il y a 7×7=49 sous-plans dans le Plan Physique Cosmique (système solaire). La théosophie contemporaine (issue de la Sagesse antique de l’Orient) compte 7 Plans Cosmiques pour décrire les systèmes galactiques (univers) en qui nous avons la vie, le mouvement et l’être. Il y a donc 7x7x7=343 sous-plans dans l’Univers. Dans ce schéma, le plan émotionnel que les sciences cognitives s’efforcent de comprendre est au 14ième sous-plan de l’étude que j’aborde dans ce travail (inférieur au 22ième sous-plans). Je prendrais le temps d’expliquer ces nuances plus tard.

{Rajout du 17/11/23 : voir l’article ci-dessous qui détaille ce découpage en plans et sous-plans dans la Théosophie}

Alors bien sûr, les thèmes utilisés au delà du 28ième sous-plan (spirituel, monadique, divin…) ne sont pas universitaires ni associés à la terminologie en neurologie mais justement, c’est toute l’originalité pour détourner et innover, il faut transgresser l’apprentissage classique, conventionnel/limité et sclérosé par un intellectualisme passif. Car la véritable conscientisation des idées s’établit dans l’expérience personnellement vécue. Cette étude en sciences cognitives sera conjointement développée avec les hypothèses que j’ai déjà établies sur la manifestation de l’électron (modèle standard en physique théorique) en relation avec l’éther IV (4ième sous-plan du plan physique) et l’atome ultime ANU qui est décrit dans la chimie occulte de Besant et de Leadbeater.

La science s’appuie avec rigueur sur l’expérience pour valider ses modèles. Il y a l’expérience concrète et la simulation numérique. Le plan physique contient les secrets de la différentiation de la matière comme manifestation de l’énergie en mouvement.

Problématique

Établir des liens entre les sous-plans théosophiques et la structure électrique du cerveau humain

Hypothèses : La classification périodique des éléments chimiques (selon Crookes) et l’assemblage géométrique des atomes ultimes (ANU en théosophie) ouvre de nouvelles perspectives pour expliquer :

  • Certaines limites du modèle de l’atome (physique théorique) : l’électron n’existe pas en tant que « particule » mais comme manifestation de « l’électricité » au niveau du 4ième éther (4ième sous-plan)
  • Le cerveau est l’organe qui supporte les désirs, les émotions et les pensées ; les neurones supportent la « conduction physico-chimiques » du flux cognitif et le 4ième sous-plans (plasma froid) peut éclairer d’un jour nouveau les liens entre la matière et le système cognitif humain en s’efforçant de caractériser l’énergie psychique.

Analogies physico-éthériques

Ainsi, la science participe de plus en plus à l’interprétation correcte du mécanisme éthérique-physique car elle prouve l’existence d’une phénoménologie montrant que les frontières de la réalité visible sont transgressées. D’un point de vue psychologique, le raisonnement linéaire (déduction et induction) est trop limité pour computer la « conduction infinie ou la résistance nulle » d’un matériau. Le raisonnement non-linéaire accède ainsi à l’équivalence matière/énergie et donc à l’expression d’H.P.Blavatski selon laquelle « la matière est de l’énergie à son niveau le plus bas. » Selon la chimie occulte, la matière est justement identifiée comme de « l’énergie en mouvement. »

Par rapport à l’homme, le corps physique représente la matérialisation de « l’énergie en mouvement » du corps éthérique. Le mécanisme éthérique-physique est donc le reflet d’une « action éthérique » qui agit dans le monde des forces. Ainsi peut-on comprendre que le corps éthérique, et plus particulièrement lorsque les centres sont hyper ou hypo-stimulés, la contre-partie physique et donc le système glandulaire est ensuite perturbé. La maladie est ainsi engendrée dans le corps physique. Quel service immense serait rendu à l’humanité, si la science médicale peut, un jour, visualiser le corps éthérique de l’homme pour anticiper la maladie physique.

L’interprétation correcte du mécanisme éthérique-physique :

  • La maladie physique comme « action mécanique » est un effet, la cause se trouve dans la « mauvaise santé » du corps éthérique ;
  • Le corps physique est le reflet de « l’énergie en mouvement. »
  • Les « actions éthériques » provoquent des résultats dans le corps physique ;
  • Les « actions éthériques » reflètent le maniement de l’énergie psychologique ; ainsi peut-on comprendre que « l’énergie suit la pensée » car la pensée met en mouvement la substance éthérique ;
  • L’énergie psychologique est mise en mouvement par le désir (Kama), par le désir-mental (Kama-manasique) ou seulement par le mental (Manas) ;
  • Le contrôle du mental permet à l’âme d’instrumentaliser le mental, le mouvement de l’énergie psychologique est équilibré, la santé du corps physique s’en suit, c’est le résultat des « actions éthériques » cohérentes.

Cette digression pour montrer que le « monde des causes » est le monde sans formes. Le mental étant le siège de la pensée, le corps éthérique est « l’agent intermédiaire » de l’homme inférieur triple. Finalement, le corps physique représente le « monde phénoménologique des effets. »

A suivre…