La Chimie est une science expérimentale comme la Médecine qu’elle accompagne dans la précision descriptive des phénomènes quantitatifs. La médecine est plus qualitative, elle s’appuie sur la mesure, les multiples (constantes expérimentales), les formes descriptives (mathématiques) et les nouvelles interprétations (paradigme et épistémologie). Comme en Microphysique il y a un siècle pour changer la perception et la détermination d’une réalité complexe mais restant toujours dans une approche phénoménologique (expérimental) tout en étant probabiliste maintenant. La Microphysique (radioactive, quantique) est une approximation des prédictions, sur des phénomènes erratiques, mais harmonieux dans la statistique (Boltzmann, Bose-Einstein, Fermi…) comme l’est le mouvement brownien qui représente la danse du pollen à la surface d’un liquide. La Microchimie est une approche particulière de l’Histoire des Sciences dans ses fondements philosophiques pour assoir la nouvelle description de la Matière liée inexorablement avec les formes géométriques et les sons (vibrations). La science cosmologique (matière) peut s’appuyer sur la noologie (énergie) pour expliquer les phénomènes observés.
- Chimie classique et cosmologique
- Microchimie et chimie noologique
- Nouvelles perspectives en Microchimie
- Les 7 fils de FOHAT
Chimie Classique et Cosmologique
La chimie classique est passionnante à découvrir car elle s’efforce d’expliquer la matière par « son poids et sa mesure ». La chimie classique n’est pas une « science dure » elle expérimente…
La chimie classique est un héritage c’est à dire pour la science une méthode et des équations, aux proportions définis (Dalton) jusqu’aux dérivés partielles en thermodynamique. Un système chimique (matière) est composé de particules (atomes, molécules…) et de « variables intensives et extensives » pour mesurer certaines grandeurs physico-chimiques comme la température, la pression, l’entropie, l’enthalpie…
La chimie classique est belle dans ses équations, ses bilans et le motif louable pour essayer de comprendre l’évolution des systèmes et pour satisfaire le bien être de l’humanité (parfums, peinture, feux d’artifice, produits chimiques acides, basiques…). La cinétique chimique est une vraie analyse à considérer pour son intention de suivre l’évolution du système (en fonction du temps) tout en s’efforçant de comprendre le rôle des « activateurs de réaction » dans toutes observations. Les catalyseurs sont importants pour comprendre que la chimie classique est limitée par son approche trop positiviste. Mais qu’importe en fait, car l’intérêt en chimie classique, c’est d’avoir des tables de mesures expérimentales comme des références à considérer.
Les tables sont nombreuses et très diverses. Elles correspondent aux mesures effectuées dans un certain cadre expérimental et une approche théorique plus ou moins affirmée. La théorie en chimie est poussée, corrélée avec les faits mais pas toujours « utile » pour expliquer (par anticipation) le phénomène observé car la chimie classique n’explique souvent qu’à postériori.
En chimie, il y a de nombreuses constantes à aborder par sa mesure (sa valeur) et ses unités. C’est tout un monde à découvrir facilement avec les outils informatiques pour obtenir des données, les traiter aisément et s’efforcer d’en extraire une compréhension utile pour « lire » la matière et l’environnement dans lequel nous avons la vie, le mouvement et l’être.
c = 2,997925.108 m.s-1
La vitesse de la lumière dans le vide est une constante mais nous savons maintenant que l’intrication quantique de 2 particules valide la « transmission spontanée » de l’information qui contredit la « vitesse limite » de la lumière (classique) et le mécanisme expliquant le « transport d’information ».
Na = 6,02204.1023 mol-1
La constante d’Avogadro est intéressante aussi pour son approche macroscopique (mesure en laboratoire) s’efforçant de « compter » les éléments microscopiques. Son unité s’exprime en mol-1 c’est à dire comme l’inverse de la mole.
Les constantes physico-chimiques révèlent l’approche expérimentale des sciences. Elles interviennent dans des contextes bien précis souvent liées, elles représentent le « passage quantitatif » d’une mesure à sa phénoménologie thermodynamique, électrique, lumineuse, gravitationnelle…
Microchimie et Chimie Noologique
La périodicité des éléments chimiques
La périodicité relative qui existe pour discerner et classer les éléments chimiques est intéressante à observer et analyser pour comprendre les propriétés de la matière. La périodicité des éléments est relative car il y a des « exceptions » aux règles dans les cycles qui se répètent, comme pour signifier que rien n’est rigide, que tout est mouvement et énergie, que la créativité de la matière physique et biologique est sans limite.
Il existe cependant une régularité dans les propriétés chimiques des éléments qui constituent la matière. Notre environnement est connue dans une certaine mesure et autres domaines conditionnés dans les limites de nos connaissances. N. Telsa disait que « tout est vibration » et qu’un savoir approfondi des modes oscillatoires permettrai de connaître l’énergie émergente de chaque variation périodique. Le moteur électrique est conçu dans cette idée que l’un engendre l’autre. Laplace l’exprimait déjà lorsque la mécanique quantique, le géométrie non euclidienne et l’analyse non commutative n’existaient pas encore pour changer de paradigme dans la connaissance du potentiel conceptuel des sciences dures (physique mathématique). La Microchimie nouvelle que je présente est un changement de paradigme pour expliquer la cohésion des briques constituant la matière, particules élémentaires en interaction révélant l’apparence de notre environnement.
Les briques de matière, à chaque niveau que l’on regarde, sont différentes dans leur cohésion et leurs assemblages géométriques pour coordonner leur mouvement synchrone d’une apparence rigide mais bien trompeuse dans la réalité proportionnelle des vides volumiques et des points de matière massique qui les engendre.
Il n’y a pas de vérités, seulement des connaissances limités dans l’électromagnétisme, la mécanique, la thermodynamique, la chimie descriptive, la quantique et autres… Tout est question de fragmentation du savoir pour en limiter la portée, mais la science (cosmologique et noologique) est pleinement consciente de l’unification nécessaire à faire pour résoudre et expliquer les phénomènes tels qu’ils sont.
Car les phénomènes sont là, inaccessibles dans la description (formelle) et tellement présent dans l’illusion perceptible d’une réalité proche, que l’on peut toucher, observer mais c’est une réalité inexpliquée en connaissance de cause car limitée par la décohérence de ce qui est « touché et calculé ».
Je comprends l’abstraction nécessaire pour introduire la nouvelle Microchimie. Mais il faut faire l’effort pour se dépatouiller dans les arcanes de la matière qui transforment le « mouvement du rien » sous toutes formes d’objets dont la masse est mesurable.
Les isotopes de l’Hydrogène
Deux isotopes d’un même élément chimique possèdent le même numéro atomique Z, ils occupent la même case dans la classification périodiques des éléments. Les isotopes diffèrent uniquement par le nombre de nucléons et donc par leur masse atomique.
Les 3 représentations des isotopes de l’hydrogène en chimie classique sont :
Les 3 représentations des isotopes de l’hydrogène et la représentation de l’hélium en chimie noologique sont :
La description de l’hydrogène en chimie noologique (2 triangles entrelacés dans un ovoïde) n’a rien à voir avec celle de la chimie classique (un électron gravite autour d’un proton dans un ovoïde). Et pour le deutérium (adyarium), l’hélium 3 (occultum) et l’hélium 4 les modèles représentatifs divergent totalement.
La chimie noologique découvre, représente et détermine la masse atomique du deutérium et de l’hélium 3 bien avant la découverte du deutérium en chimie classique.
Décompte des corpuscules (cosmologique et noologique)
Nous avons observé l’Occultum (Hélium 3) en 1895 et, le trouvant si léger, d’une composition si simple, nous avons pensé qu’il était peut-être l’Hélium dont nous ne pouvions, à cette époque, obtenir un échantillon. Cependant, quand l’Hélium pût être observé, en 1907, il se montra tout à fait différent du corps en question et nous avons nommé l’élément inconnu Occultum en attendant que la Science officielle le découvre et l’étiquette à sa guise.
La Chimie Occulte – A. Besant et CH. W. Leadbeater, éditions ADYAR (2004)
- La masse 1 est obtenue par « unité de masse atomique » : chimie classique et cosmologique
- La masse 2 est obtenue en divisant par 18 le nombre de corpuscules élémentaires (ANU prononcé ANOU) contenu dans la description géométrique de l’atome par la chimie noologique.
On constate que les masses 1 et 2 sont égales mais elles proviennent de descriptions microchimiques différentes.
Exemple avec l’hydrogène et l’hélium
Chaque point représente un ANU, il y a 2 triangles entrelacés comptant 9 ANU donc 9+9=18 ANU. La masse de l’hydrogène est 18/18=1
Deux tétraèdres entrelacés avec un ovoïde ou un hexagone aux sommets. (3×4)+(6×4)=36 ANU. La masse du deutérium est 36/18=2
Pour l’hélium 3 (occultum) et l’hélium 4 les représentations géométriques se complexifient mais le décompte des ANU reste aisé. On constate que des assemblages privilégiés réapparaissent comme le tétraèdres, les triangles composés de 9 ANU et d’autres figures sont nouvelles (tore, « ampoule »).
L’hélium 3 contient 54 ANU, sa masse est 54/18=3 et l’hélium 4 compte 76 ANU donc sa masse noologique est 76/18=4
Dans le représentation noologique de l’hélium 4, le figures géométriques ne sont pas statiques, les tétraèdres tournent autour d’un corpuscule central ayant le forme d’un oeuf et les triangles pivotent sur leur axe respectif en accomplissant une évolution semblable.
ANU = f(Z)
En prolongeant la méthode précédente sur l’ensemble des éléments chimiques, j’ai trouvé un modèle linéaire et un autre non linéaire du nombre d’ANU par atome en fonction du numéro atomique Z des éléments chimiques.
Les premières équations de la nouvelle microchimie sont :
Modèle linéaire
ANU = 46,9Z + 152,3
Modèle non linéaire
Lire ou relire l’article (ci-dessous) sur la constante alpha de structure fine pour approfondir le descriptif des équations précédentes :
Nouvelles perspectives en microchimie
En incluant les observations théosophiques que je nomme maintenant « chimie noologique », les nouvelles perspectives en microchimie sont nombreuses car les tables de valeurs physico-chimiques peuvent être passées à la loupe du décompte des ANU et de la classification géométrique (cube, haltère, pointe…) en théosophie.
Classification des éléments en chimie noologique
En fonction de l’assemblage géométriques des ANU donnant forme aux atomes, la classification chimique en noologie est différente de la classification des atomes en chimie classique.
- HALTÈRES – Sous-groupe 1a (-) avec Cl, Br, I comme monoatomiques, diamagnétiques et ions négatifs. Sous-groupe 1b (+) avec Na, Cu, Ag, Au, Gd (1909).
- TETRAEDRES – Sous-groupe 2a (+) avec Be, Ca, Sr, Ba comme diatomiques, paramagnétiques et ions positifs. Sous-groupe 2b (-) avec O, Mo, Tu, U (une place libre entre Tu et U) comme diatomiques, paramagnétiques et ions négatifs
- CUBES : – Sous-groupe 3a (+) avec Bore, Scandium, Yttrium comme triatomiques, paramagnétique et ions positifs. Sous groupe 3b (-) avec N, V, Nb comme triatomiques, paramagnétiques et négatifs
- OCTAEDRES (arrondi aux angles) – Sous groupe 4a (+) avec C, Ti, Zi, valence 4, paramagnétiques et ions positifs. Sous-groupe 4b avec Si, Ge, Sn
- TIGES – Sous groupe 5a avec fluor (à la tête d’un groupe inter-périodique ou d’un stade de transition), Mn, Fe, Co, Ni, Ru, Rh, Pa, Os, Ir, Pl. Mais le fluor et le manganèse passent dans l’autre groupe… Le groupe des pointes sous groupe 5b (+) {pas pour F ni Mn} avec Li, K, Ru, {F, Mn} à cause de leur ressemblance interne comme monoatomique, paramagnétiques et ions positifs.
- ÉTOILES : Dernier groupe du classement des lemniscates de Crookes, celui qui forme la colonne neutre avec He sui generis, Ne, Méta Ne, Ar, Méta Ar, Kr, Méta Kr. Tous ces éléments chimiques témoignent de la présence d’une loi de récurrence.
Analyse noologique de la densité
La densité des éléments chimiques est mesurée en g/cm3 , la périodicité du graphique suivant (densité=f(z)) est suffisamment visible pour ne pas s’y attarder.
Dans cette représentation de l’ensemble des densités atomiques en fonction du numéro atomique Z, on remarque que la périodicité est croissante en amplitude, il y a des bosses, des creux qui se succèdent et un plateau aussi qui casse la succession des cycles.
Pour la première bosse, c’est le 5ième point, le Bore avec Z=5. La deuxième bosse apparaît pour Z=13 (Aluminium), la troisième bosse pour Z=29 (Cuivre), la quatrième bosse pour Z=44 (Ruthénium), la cinquième bosse pour Z=76 (Osmium).
Dans la classification noologique, le Bore et l’aluminium appartiennent au groupe des CUBE(+). Le cuivre appartient au groupe des Haltère(+). Le ruthénium et l’osmium appartiennent au groupe des Tiges (Barres).
Pour les maximums de densité selon les périodes, les atomes appartiennent aux groupes des CUBE(+), HALTÈRE(+) et des TIGES
En chimie classique, si le bore et l’aluminium appartiennent au même groupe, le cuivre, le ruthénium et l’osmium sont tous des « métaux de transition » contrairement à la chimie noologique qui discerne les métaux de transition en HALTERES, TIGES…
D’ailleurs qu’elles sont les structures électroniques de ces atomes :
- Cuivre : [Ar] 3D10 4s1
- Ruthénium : [Kr] 4d7 5s1
- Osmium : [Xe] 4f14 5d6 6s2
Malgré la dernière couche électronique du Ruthénium non pleine et celle de l’Osmium saturée, les deux atomes appartiennent au groupement des TIGES en chimie noologique.
Les TIGES caractérisent une série de groupes très voisins, qualifiés « d’interpériodiques ». Quatorze TIGES (ou sept en croix) partent en rayonnant d’un point central, par exemple dans le fer, le nickel, le cobalt, le ruthénium, le rhodium, le palladium, l’osmium, l’iridium, le platine et différent entre eux par le poids qui augmente suivant une progression régulière. Les quatorze corpuscules en saillie reproduisent la « pointe du lithium » et sont groupés autour d’un ovoïde central (le manganèse est plus proche du lithium que du fluor). La « pointe du lithium » réapparaît dans le potassium et le Rubidium.
La Chimie Occulte (p.149) – A. Besant et CH. W. Leadbeater, éditions ADYAR (2004)
Si l’on regarde le premier creux qui succède à la première bosse (du graphique), il s’agit du Néon (Z=10) avec une densité de 0,0009 g/cm3 et le Néon appartient au groupe des ÉTOILES comme l’Argon (Z=18) qui se trouve au deuxième creux et le Krypton (Z=36) qui se trouve au creux de la troisième oscillation. Le Zénon (Z=54) est le 4ième creux et le 5ième creux est occupé par le Radon (Z=86). Dans la classification noologique tous ces éléments chimiques sont des ÉTOILES et leur valeur de densité est minimum dans l’oscillation des périodes qui se succèdent.
Dans la classification de la chimie classique, les conclusions sont les mêmes, tous ces atomes dont la densité est faible appartiennent au groupe des GAZ INERTES dont la dernière couche électronique est saturée. Donc les GAZ INERTES sont des ÉTOILES.
Une ÉTOILE plate, avec 5 tétraèdres qui s’interpénètrent au centre, est la forme caractéristiques du Néon et des éléments de son groupe, à l’exception de l’Hélium qui possède une forme tout à fait différente.
Ainsi, il existe six formes nettement définies qui caractérisent les groupes et dont le Lithium et le Fluor sont de parenté hypothétique. Il faut remarquer que dans les éléments diatomiques, quatre entonnoirs s’ouvrent sur les faces d’un octaèdre ; dans les éléments triatomiques, six entonnoirs s’ouvrent sur les faces d’un octaèdre. Nous avons donc une succession de corps platoniciens…
La Chimie Occulte (p.152) – A. Besant et CH. W. Leadbeater, éditions ADYAR (2004)
Continuons l’analyse du graphique de la densité des éléments chimiques en focalisant sur « le plateau » entre le 4ième creux (min) et la cinquième bosse (max).
De Z=58 à Z=68 ce plateau casse ce qui « devait être la 5ième bosse ». Au lieu de cela, les mesures de densité révèle qu’un atome au centre du plateau possède une densité nettement inférieure (d=5,2 g/cm3) aux densités légèrement croissante des atomes du plateau (densité comprise entre 7 et 9 g/cm3). Il s’agit de l’Europium (Z=63), en chimie noologique, cet élément appartient au groupe des TETRAEDRE. Les 2 autres atomes appartement au groupe des tétraèdres (dans le plateau) sont Nd (Z= 60 Néodyme d=7,01 g/cm3) et Ho (Z= 67 Holmium d=8,79 g/cm3).
L’Europium possède 151 nucléons, à l’état naturel, l’Europium est en abondance pour 1/2 avec son isotope de 153 nucléons. La masse atomique globale est de 151,96 u.m.a
La chimie noologique indique 2843 ANU pour l’Europium donc une masse calculée de 157,94 u.m.a
Description noologique du Lithium
J’ai déjà réalisé une analyse classique et noologique sur l’oxygène, à lire ou à relire
Le lithium (Z=3) est synthétisé (comme l’hydrogène et l’hélium) par le Big-Bang. L’univers contient une quantité de lithium en proportion cent fois supérieure au lithium contenu dans le soleil. Certaines étoiles dans notre galaxie contiennent 2800 fois plus de lithium que le soleil. Le corps humain contient (en proportion) deux fois moins de lithium que les océans.
Le spectre d’émission du lithium est :
Représentation géométrique et noologique du Lithium
Le Lithium est composé d’une POINTE de 63 ANU, 8 pétales de 6 ANU et un globe central (une assiette) de 16 ANU, on a :
63+48+12=127 ANU
- La masse 1 cosmologique du lithium est de 6,94
- La masse 2 noologique du lithium est 127/18=7,05
Le Lithium est de forme belle et frappante avec son cône en pointe dressé ; les huit pétales rayonnant autour de la base du cône et le support, semblable à une assiette, avec au centre, un globe sur lequel repose la pointe. La pointe tourne doucement sur son axe, emportant les pétales dans son mouvement. L’assiette tourne aussi doucement en sens contraire.
La Chimie Occulte
La « pointe du lithium » est clairement identifiable. Elle est à la base de construction du groupe des TIGES (barres). La « pointe du lithium » apparaît dans le potassium (pointe), le rubidium (barre) et le baryum (haltère(-)) qui emprunte les matériaux de la « pointe du lithium » (probablement venu le long de la spirale du caesium), mais les a disposés en sphère dans son entonnoir. Dans l’entonnoir du baryum apparaît une nouvelle forme (4×5 ANU, 7 ANU et un cigare de 6 (hexagramme allongé) autour duquel tournent deux groupes de 5 ANU) destinée à jouer une rôle important dans le puissant globe central du radium.
Le lithium est placé par Crookes à la tête d’un groupe avec le potassium, le rubidium et le cæsium.
Le groupe des POINTES
On retrouve la « pointe du lithium » composée de 63 ANU (Li63) en couche superposée ou pas jusqu’au francium qui contient 3 blocs Li63 dans une POINTE plus puissante encore. La description géométrique et noologique des atomes est quantifiée par le décompte des ANU et qualitative par les différents assemblages d’ANU.
Description noologique de l’azote
Dans le groupe des pointes, le lithium apporte la pointe Li63 aux autres éléments du groupe et le fluor apporte le « ballon de l’azote » qui apparaît chez tous sauf dans le lithium.
Comme il existe des « champs de forces » électrique et magnétique (champ vectoriel) en chimie cosmologique classique, il existe des « champs de formes » en chimie noologique. Sachant qu’il existe 5 états de la matière en théosophie, il est d’usage d’admettre « 5 champs de formes » à différents degré manifestés par la matière physique (un élémentaire et quatre éthériques). Il s’agit des sous-plans E2, E3, E4… dont j’ai traité dans d’autres articles.
Six corps éthériques sont contenus dans la forme ovoïde de l’azote, corps qui maintiennent les uns vis à vis des autres une certaine distance, et flottent ainsi dans l’œuf, suivant un groupement étrange. Trois corps sont marqués du signe (+) et trois du signe (-), et ils se tiennent en deux groupes distincts.
Chimie occulte p.336
Représentation géométrique et noologique de l’Azote
L’Azote ne prend pas la forme cubique mais celle d’un œuf. Observé en 1895, le corps en forme de ballon flotte au milieu de l’œuf. Le « ballon de l’azote – a110 » est très présent dans le globe central du groupe des POINTES. Il contient six petites sphères en deux rangées horizontales et un long ovoïde au milieu ; ce corps en forme de ballon est positif et est attiré vers le bas par le corps négatif (ovale) avec ses 7 sphères dont chacune renferme 9 ANU. Quatre sphères s’ajoutent aux 2 corpuscules plus grands dont deux (+) de 5 ANU et deux (-) de 4 ANU.
Nous avons donc pour l’Azote :
- Ballon de 110 ANU (noté A110 ou N110)
- Ovale de 63 ANU (noté N63)
- 2 corps de 20 ANU
- 2 corps de 24 ANU
En sommant les différentes corps de l’Azote, on a :
110+63+(2×20)+(2×24)=261 ANU
- La masse 1 cosmologique est 14,007 u.m.a
- La masse 2 noologique est 261/18=14,50 u.m.a
La décomposition éthérique sur les sous-plans E4, E3 et E2 est très précise dans la description des assemblages d’ANU dans les différents « champ de formes ».
Pour la chimie noologique, l’allotropie consisterait en une isatomie des corpuscules super-élémentaire provoquant une stéréoisométrie des atomes chimiques.
J’ai déjà indiqué, au début de cette étude, les propriétés de l’azote actif découvert par R. J. Strutt. Ce corps prend naissance par action de la décharge avec condensateur sur l’azote pur, qui provoque, après son passage, une luminosité jaune du gaz. Cette luminosité due à l’azote actif, diminue par chauffage, réapparaît et augmente d’intensité par refroidissement ; aussi Strutt l’explique (provioirement) par une recombinaison d’atomes dissociés.
Revue de Chimie Physique de 1911, G BAUME (tome X n°2, p.397)
Le spectre d’émission de l’Azote
Description noologique des GAZ INERTES
Les gaz inertes forment la colonne neutre du classement des lemniscates de W. Crookes. A la tête de ce groupe (LES ÉTOILES) se trouve l’hélium qui est sui generis, les autres ont la forme d’une étoile (à 6 branches) aplatie avec 5 tétraèdres enchevêtrés (noté C120 ou Ne120 dans les représentations noologiques suivantes) portant des cigares (hexagramme allongé de 6 ANU comme dans les « pétales » du lithium) comme centre et 6 branches rayonnant autour de ce centre.
Les gaz inertes témoignent de la présence d’une loi de récurrence car si nous prenons une branche de l’étoile dans chacun des cinq couples nous avons (ANU) :
40 99 224 363 489
47 106 231 370 496
Constante un +7 ANU entre un élément et son « alter ego META »
Le groupe des ÉTOILES
On retrouve dans la structure géométrique des gaz inertes les assemblages N63 et N110 de l’azote dans chacune des 6 branches des étoiles avec au centre l’assemblage Ne120 du néon.
Décompte des ANU
Néon : 6 bras de 40 ANU (240) et 5 tétraèdes centraux de 120 ANU donc 360 ANU au total. Masse =20 u.m.a et masse2=360/18=20
Argon : 6 bras de 106 ANU (636) + Ne120 donne 714 ANU. Masse1=38 u.m.a et masse2=714/18=39,66
Krypton : 6 bras de 224 ANU (1344) + Ne120 donne 1464 ANU. Masse1=82 u.m.a et masse 2=1464/18=81,33
Xénon : 6 bras de 363 ANU + Ne120 donne 2340 ANU. Masse 1=130 u.m.a et masse 2=2340/18=130
Kalon : 6 bras de 489 ANU (2934) + Ne120 donne 3054 ANU. Masse1=? et masse2=3054/18=169,66
Description noologique du Radium
Le Radium (Z=88) appartient au groupe des TETRAEDRES. Dans ses arrangements généraux internes, le radium ressemble beaucoup au calcium, strontium, chrome ou molybdène avec addition du zinc et du cadmium.
Le radium est composé d’une sphère centrale (en bas de l’image), d’entonnoirs (tétraèdre) et de pointes (en haut à droite de l’image) contenant un ensemble de trois « pointes du lithium » Li63 et d’une tétraktis (1+2+3+4=10) au bout de la pointe.
Décompte des ANU
Le Radium contient 4087 ANU :
- 4 entonnoirs de 618 ANU (2472)
- 4 pointes de 199 ANU (796)
- Sphère centrale (819)
La masse1=226 u.m.a et la masse2=4087/18=227,05
Le Radium a une sphère centrale complexe, extraordinairement agitée et vivante ; le mouvement tourbillonnant est si rapide qu’il est difficile de faire une observation avec exactitude. La sphère est plus fortement agglomérée que le corps central des autres éléments, et bien plus grande par rapport aux entonnoirs et aux pointes.
Le cœur de la sphère se compose d’un globe (7 ANU) qui sur le plan proto prend la forme prismatique reconnue dans le cadmium, le magnésium et le silicium. Ce globe est le centre de deux croix, dont les branches sont formées respectivement par des groupes de 3 et de 2 ANU. Autour de cette sphère sont disposés comme sur des rayons, 24 segments qui contiennent chacun 6 corpuscules, 4 de 5 ANU et 1 de 7 ANU, et 6 ANU libres qui flottent horizontalement à l’embouchure du segment.
Les quatre entonnoirs s’ouvrent sur les faces du tétraèdre comme pour le strontium et le molybdène, mais contiennent 3 colonnettes au lieu de 4 ; ces colonnettes sont placées dans l’entonnoir, comme au sommet d’un triangle, et non côte à cote. Les corpuscules qu’elles contiennent, quoique nombreux, renferment des formes qui sont toutes familières.
Les pointes alternent avec les entonnoirs et sont dirigées vers les angles du tétraèdre, comme le zinc et le cadmium ; chaque pointe contient 3 pointes du lithium, avec un cône ou chapeau de 10 ANU au sommet, qui flottent au dessus des trois pointes. on peut voir les « pétales » ou « cigares » du lithium dans le globe central, comme des atomes flottants, et les groupes des 4 ANU qui forment « l’assiette » du lithium dans les entonnoirs, de sorte que le lithium se retrouve dans le radium.
Telle est sa composition, mais le tourbillonnement très rapide de la sphère centrale produit un résultat très particulier, que nous n’avons pas observé ailleurs jusqu’à présent. Il se forme une sorte de tourbillon et un courant de drainage continu à travers les entonnoirs. Les particules sont attirées de l’extérieur et entraînées dans le mouvement giratoire de la sphère ; leur température devient très grande et alors elle sont projetées violemment à l’extérieur à travers les pointes. Ce sont ces projections qui arrachent de temps en temps un atome (ANU ou corpuscule provenant d’un des sous-plans éthériques) à la surface de la sphère. Dans quelques cas, ces corps se dissocient et forment de nouvelles combinaisons. En fait le Radium semble être une sorte de Vortex d’activité créatrice, attirant, dissociant, combinant et rejetant ; en d’autres termes, un élément des plus extraordinaire.
Chimie Occulte p.328-329
Les 7 fils de FOHAT
Le Son et la Couleur
FOHAT (tibétain). Terme utilisé pour représenter la puissance (mâle) de la Sakti (pouvoir reproducteur féminin) dans la nature. L’essence de l’électricité cosmique. Terme occulte tibétain pour Daïvipakriti, la lumière primordiale, et dans l’univers de la manifestation, l’énergie électrique toujours présente et le pouvoir incessant, destructeur et formateur. Ésotériquement, c’est la même chose, car Fohat étant la force vitale motrice universelle est à la fois le moteur et ce qui en résulte.
Glossaire Théosophique (H.P. Blavatsky)
Dans la terminologie gnostique et chrétienne, Fohat s’identifie à l’esprit sain, le Verbe. Les 7 fils de Fohat sont :
- La Flamme (Électricité)
- La Chaleur (Magnétisme)
- Le son (La Forme)
- La Couleur (Le Nombre)
- L’Attraction
- La Répulsion
- La Cohésion
Le Son et la Couleur représentent les attributs du « je suis » manifesté. La première équation de la chimie noologique est :
Le Son est lié à deltaANU, à l’écart relatif (U(n+1)/Un en ANU) avec la racine douzième de 2 (intervalles de la gamme tempérée en musique). Le Son engendre et maintient la forme en manifestation.
La Couleur est le nombre, la valeur des longueurs d’ondes colorées dans le spectre d’émission des éléments chimiques. La Couleur est la forme relative (champ de forme) sur les 5 états de la matière (1+4 éthériques) comme signature des atomes reflétant la géométrie et le nombre de corpuscules qui s’assemblent et qui maintiennent par leur mouvement une stabilité énergétique leur permettant de se manifester dans le temps.
Le Son et le pendule
Un pendule est une masse oscillante, dont la masse est réglable en hauteur pour modifier la fréquence oscillatoire du pendule. Comme pour un métronome.
Plus le poids est haut dans le métronome, plus la vitesse d’oscillation (fréquence) est grande.
Note, ratio et un pendule de 80 cm
Avec les ratios du tableau précédent et les notes correspondantes, je considère « l’écart numérique » entre 2 notes. Les « écarts numériques » comme les « champs de forme » reflètent deltaANU de la première équation de chimie noologique.
Entre Do# (16:15) et Ré (9:8), « l’écart numérique » est de 0,05833. Entre La (5/3) et Si bémol « l’écart numérique » est de 0,1333…
Il n’y a pas d’échelle chromatique (gamme) sans « coma pythagoricien » dont sa valeur est :
La différence est un peu plus de 1% d’une octave soit environ 1/4 de 1/2 ton.
Harmonographe latéral et rotatif
Représentation des formes construites par oscillations (latéral et rotatif) de deux harmonographes
Pour l’harmonographe rotatif, les formes engendrées par des ratios (2:1) et (3:2) sont très intéressantes par rapport au mouvement intrinsèque d’un ANU (+) ou (-), par rapport à la stabilité d’un solide à trois corps, par rapport à la représentation graphique des fonctions polaires en mathématiques ou par rapport à certains assemblages d’ANU en mouvement dans les sous-plans E2 ou E3.
**L’harmonographe rotatif est un dispositif mécanique fascinant utilisé pour tracer des motifs et des formes géométriques complexes. Lorsque vous choisissez des ratios spécifiques, tels que 2:1 ou 3:2, des motifs particulièrement intéressants émergent. Ces motifs sont étroitement liés au mouvement intrinsèque d’un ANU (+) ou (-), qui est une unité fondamentale de mesure de l’énergie.
De plus, ces ratios peuvent être associés à la stabilité d’un solide à trois corps. Ce concept trouve des applications dans des domaines aussi divers que la physique, la chimie et la biologie, où la compréhension de la stabilité des systèmes est essentielle.
En mathématiques, les fonctions polaires sont souvent représentées graphiquement. Les formes générées par l’harmonographe rotatif avec des ratios tels que 2:1 ou 3:2 peuvent être utilisées pour illustrer ces fonctions de manière visuelle et intuitive. Cela facilite la compréhension de concepts mathématiques abstraits tels que les courbes polaires.
Enfin, ces motifs peuvent également être observés dans certains assemblages d’ANU (Agrégats Numériques Unifiés) en mouvement dans les sous-plans E2 ou E3. Les ANU sont des particules subatomiques hypothétiques qui pourraient jouer un rôle clé dans la compréhension de la structure fondamentale de l’univers. L’étude de leurs mouvements et de leurs arrangements nous permet de mieux saisir les principes sous-jacents de la réalité à une échelle infiniment petite.
En somme, l’harmonographe rotatif et les formes générées par des ratios tels que 2:1 et 3:2 offrent une multitude d’applications et de perspectives passionnantes, allant de la physique à la mathématique en passant par la philosophie de la réalité quantique. C’est un domaine qui continue d’inspirer et d’émerveiller les esprits curieux.**
Pendules rotatifs et variation de l’amplitude
Une variation importante naît à partir d’un ratio rotatif si on utilise des pendules de tailles inégales dans les 2 mouvements circulaires.
Ci-dessous les 3 premiers harmoniques. Pour les formes plus anguleuse, il suffit d’inverse les amplitudes. Pour les polygones, il faut régler les amplitudes en premier.
QUADRIVIUM, éditions DERVY 2021
Avec 2 fréquences liées par une sixte majeure (5:3), on voit qu’une note de fréquence plus basse commence à être influencée par une autre, de fréquence plus élevée, avec laquelle elle se combine et qui la remplace plus ou moins ensuite.
Lorsque les 2 notes ont un volume égal, toutes les lignes traversent le centre.
Tables des motifs de l’harmonographe
Les figures de Chladni et les plaques vibrantes
Table des figures de Chladni
Liste des visualisations physiques du Son
http://dataphys.org/list/tags/sound/
**Les formes géométriques des figures de Chladni révèlent sur une plaque vibrante (2D) les harmonies de vibrations oscillatoires de certaines fréquences particulières. Ces figures sont obtenues en dispersant des particules fines, telles que du sable ou du sel, sur une plaque métallique soumise à des vibrations. Au fur et à mesure que la plaque vibre, les particules se déplacent et se regroupent aux endroits où les ondes stationnaires sont formées, donnant ainsi naissance à des motifs géométriques fascinants.
Mais quelles sont les fréquences en Hertz des figures de Chladni ? Eh bien, elles dépendent de plusieurs facteurs, tels que la taille et la forme de la plaque, les conditions environnementales, ainsi que les propriétés physiques du matériau utilisé. Les fréquences à partir desquelles ces figures se forment sont généralement déterminées par les modes de résonance de la plaque.
Pour comprendre cela, il est important de se rappeler que lorsque la plaque vibrante est excitée par une source sonore, elle résonne à différentes fréquences. Ces fréquences de résonance dépendent de la géométrie de la plaque et des conditions aux limites. Lorsque la plaque vibre à une fréquence de résonance spécifique, les nœuds et antinœuds se forment, créant ainsi les motifs observés.
Il convient également de mentionner que les figures de Chladni sont utilisées dans divers domaines, tels que l’acoustique, la musique, les sciences physiques et même l’art. Elles permettent d’explorer et d’apprécier les principes sous-jacents des vibrations et des ondes. De plus, les figures de Chladni ont inspiré de nombreux artistes et compositeurs, offrant une nouvelle perspective sur la relation entre les phénomènes physiques et la création artistique.
En conclusion, les fréquences des figures de Chladni dépendent de multiples facteurs et sont caractérisées par les modes de résonance de la plaque vibrante. Ces figures ouvrent la voie à une meilleure compréhension des propriétés vibratoires des matériaux et trouvent une application dans différents domaines. Elles témoignent de l’interaction harmonieuse entre la science et l’art, mettant en lumière la beauté fascinante des motifs géométriques qui émergent de la musique des vibrations.**
Les hologrammes à l’écoute des sons
Pour la guitare et la cymbale, les différentes fréquences (notes) montrent clairement les « formes d’oscillations » des caisses de résonance pour chaque instrument. Comme précisé dans l’article les « champs de forme » sont les courants d’énergies vibratoires qui organisent les ANU dans les éléments chimiques ou les modes de vibration des instruments de musique.
Les sons et la médecine
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