Category Archives: Epistémê

Convergences Cosmologiques et Noologiques (III)

Cette IIIe partie est consacrée au corps humain, sa partie physique (cosmologie), énergétique (noologie) et au système endocrinien associé symboliquement aux centres du corps éthérique (chakras en Inde). L’éther des physiciens est autre chose, c’est la déformation progressive dans le temps de la compréhension conceptuelle du « 5e élément » (stupa en orient) créant l’unité du quaternaire physiquement manifesté (analyse symbolique). Il n’y a pas d’éther en physique car la théorie utilise seulement la mesure de la vitesse de la lumière, dans un sens ou dans l’autre, du mouvement de rotation de la Terre (Expérience de Morley-Michelson). Il faut engager un saut hardi pour se transporter sur l’autre rive. Le passage d’un bord à l’autre de la rivière change radicalement les perspectives d’une réalité duale (géodésiques imposées). Tout est symbole et le TOUT est plus que la somme de ses parties (Temple de Delphes). C’est ainsi, l’évolution de l’environnement (phénoménologie) est non linéaire et il faut l’accepter. Cette troisième partie du rapprochement entre la théosophie (noologie) et la science (cosmologie) permet d’aborder le corps humain, sa description holistique (sans préjugé d’orient, ni d’occident) et sa dynamique évolutive avec le temps qui n’est finalement qu’illusion dans les cycles infinis…

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Convergences Cosmologiques et Noologiques (II)

D’un monde à l’autre, des cristaux de sel aux galaxies elliptiques, les assemblages géométriques dominent les structures de notre environnement terrestre et cosmique. Le sel de cuisine (NaCl) cristallise sous forme cubique centrée sachant que l’atome de clore (Z=17) est plus gros que le sodium (Z=11). Des milliards d’étoiles gravitent sur des ellipses pour former les galaxies. Une étoile est une boule d’atomes d’hydrogène (Z=1), c’est au cours de sa mort que l’étoile fabrique les atomes de sodium et de chlore.

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Convergences Cosmologiques et Noologiques (I)

La noologie (théosophie) concerne la Sagesse de Dieu et la Volonté divine invoquée par le Règne Humain depuis la nuit des temps (le Souffle du Logos). La Théosophie contemporaine débute avec les travaux d’Helena Petrovna Blavatsky à la fin du XIXe siècle. La Science rationnelle est riche en données expérimentales, elle cherche à expliquer les phénomènes manifestés sur notre plan physique en qui nous avons la vie, le mouvement et l’être c’est à dire relater notre présence sur Terre. Et les lois de la matière condensée ne sont pas les mêmes que celles concernant le plasma de notre étoile le Soleil. Car la science est aussi divergente dans certaines parties de ses connaissances (matière-énergie noire), voire paradoxale dans des expériences de pensée. La théosophie est une « philosophie expérimentale » plutôt qu’une science, la théosophie analyse l’énergie lorsque la science s’efforce de comprendre la matière.

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Le Cadre Épistémologique

La prise de décision suppose une vision claire de la situation et une méthodologie/procédure de sa mise en application. Je préfère l’idée de « méthodologie » car c’est plus souple avec les degrés de liberté (mécanique du solide). La « procédure » est trop systématique et restreint le champ des possibles à l’action. La stratégie intégrale concerne l’anticipation possible d’un ou de plusieurs évènements sur n’importe quel plans de la réalité visible et invisible. Pour anticiper un évènement, il faut cerner le problème et l’isolé (sans trop) pour le définir et le circonscrire. A cela s’ajoute les « limites floues » du système avec son environnement (univers) et les modèles de pensées scientifiques et philosophiques qui vont avec.

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Le mythe et la logique

Initialement, dans le monde antique,  à partir de Xénophane[1] (565-470 av. J.-C.) le mythe est critiqué et rejeté. Sur les interprétations « rationnelles » des divinités utilisées par Homère et Hésiode, les grecs ont vidé le mythos de toute valeur religieuse et métaphysique. Mythos est donc opposé à logos puis à historia pour identifier le mythe à tout ce qui ne peut pas exister réellement.

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Positivisme et Déterminisme

Positivisme 

On qualifie de positiviste une personne qui souhaite éliminer de son discours scientifique tout ce qui ne relève pas de l’observation et de l’expérience. Il existe donc (pour les positivistes) un attachement fort à la « perception sensorielle » d’Aristote.

On peut dire que les positivistes se sont « cassés les dents » sur l’atome…

Auguste comte est une référence du positivisme, il analyse l’évolution des connaissances en trois parties : la théologie, la métaphysique et la science. La science est l’aboutissement du progrès des connaissances (connaissances positives).

Le positivisme est également un courant philosophique (début XXe siècle) issu d’un « cercle de Vienne » dont la radicalité des pensées se prolonge actuellement dans le positivisme logique et la philosophie analytique. Ils considèrent simplement que la théologie et la métaphysique ne possèdent aucun sens puisque ces questions là ne correspondent à rien d’empirique. Pour eux, les questions théologiques et métaphysiques ne sont que des illusions du langage.

Déterminisme

Un système est dit déterministe si son état à un moment donné entraîne immanquablement la totalité des états futurs.

Affirmer que tout, dans l’Univers, est déterminé signifie simplement qu’il existe un lien continu entre la totalité des événements qui s’y enchaînent. Bien sûr, il n’existe pas de lien continu entre la totalité des événements. L’univers n’est pas un système déterministe. L’univers inclue la créativité et la nouveauté dans ses volutes progressives et l’être humain en est un exemple avec ce que l’on nomme son libre arbitre ou sa volonté libre d’agir dans un sens ou dans l’autre. D’où la difficulté pour intégrer dans les modèles économiques le comportement humain comme variable « déterministe » puisque l’individu agit (plus ou moins) comme bon lui semble.

Paradigmes scientifiques

Dans l’idée de transmission du savoir, de l’orient vers l’occident, réside les exigences d’une « évolution humaine cohérente ». Avec cette migration des connaissances et l’évolution du savoir, l’intuition et la pénétration de l’esprit transmettent les idées structurées ensuite en pensées par la cristallisation de « l’énergie cognitive » dans la matière.

Et la Science a suivi cette continuité dans ses raisonnements. Du positivisme de Descartes au principe d’incertitude d’Heisenberg, un gouffre les sépare et les conséquences pour le développement culturel de l’humanité sont très importantes.

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Entre Science Rationnelle et Science Probabiliste

 D’un point de vue scientifique, l’analyse est basée sur le principe de causalité pour structurer un raisonnement. Mais cette définition rationaliste et déterministe tend à s’estomper pour laisser une place dominante aux concepts abstraits d’une science dématérialisée (conceptuelle) et probabiliste c’est-à-dire incertaine et indéterminée. Non qu’on ne puisse pas retrouver ou reconnaître les causes mises en jeu, mais nous savons aujourd’hui, qu’au cours du temps, il y a une perte d’information dans toutes les transformations de la matière. Ainsi sommes-nous obligés d’admettre qu’il n’y a pas de solution « exacte » et « certaine » à tous les problèmes posées mais qu’il existe plutôt, une « probabilité de solution viable ». La nuance est importante et d’un point de vue philosophique/épistémologique, les conceptions de la science sont forcément bouleversées (fin du positivisme). Voilà comment les représentations actuelles de la science dite « exacte » retrouve les fondements de la pensée globale (holisme) des premières civilisations d’orient.

Le modèle de la science est globalement le suivant : La connaissance du monde est dite « scientifique » lorsque des expériences modélisées et réitérées peuvent servir à prévoir le comportement d’un système (en occident vers 1500).

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