D’un monde à l’autre, des cristaux de sel aux galaxies elliptiques, les assemblages géométriques dominent les structures de notre environnement terrestre et cosmique. Le sel de cuisine (NaCl) cristallise sous forme cubique centrée sachant que l’atome de clore (Z=17) est plus gros que le sodium (Z=11). Des milliards d’étoiles gravitent sur des ellipses pour former les galaxies. Une étoile est une boule d’atomes d’hydrogène (Z=1), c’est au cours de sa mort que l’étoile fabrique les atomes de sodium et de chlore.
- Le Plan Cosmique (Logos)
- Le Schéma de la Terre (Axis Mundi)
- Le Corps Humain (Epistémê)
Cette deuxième partie sur les convergences cosmologiques et noologiques (le schéma de la Terre) pose des hypothèses ouvertes mais étayées d’approches différentes et ignorées mais à considérer.
Isotopes de l’Hydrogène (Noologie)
Le décompte des ANU (atomes ultimes) est construit sur des observations. C’est Besant et Leadbeater qui observent les atomes des physiciens sous forme gazeuse pour compter les éléments constitutifs et en représenter la répartition. Exemple avec le groupe de l’Hydrogène :
On peut voir que l’atome d’hydrogène (1H) contient 18 atomes ultimes (3x3x2) réparties dans 2 triangles entrelacés contenant 9 ANU chacun. Le deuxième élément représenté (en haut à droite) est le Deutérium (2 Adyarium) c’est un isotope stable de l’hydrogène. Le Deutérium est officiellement découvert en 1931 (science) mais cette représentation théosophique est publié pour la première fois en Angleterre en 1919 (1920 pour l’édition française et 2000 (EN) et 2004 pour la réédition française). A l’époque, les observations théosophiques ont permis de compter 36 atomes ultimes dans le Deutérium. La représentation géométrique révèle 2 tétraèdres entrelacés. Le premier contient 3 ANU à chaque sommet (3×4=12) et les sommets de l’autre tétraèdre sont occupés par des hexagones (6×4=24) ce qui fait 36 ANU en tout. Le plus remarquable dans ce travail de 1919, c’est la correspondance avec la masse atomique des scientifiques :
- Hydrogène : masse atomique (scientifique) = 1 ; masse atomique (théosophique) = 18/18=1
- Deutérium : masse atomique (scientifique) = 2 ; masse atomique (théosophique) = 36/18=2
- Tritium : masse atomique (scientifique) = 3 ; masse atomique (théosophique) = 54/18=3
- Hélium : masse atomique (scientifique) = 4 ; masse atomique (théosophique) = 72/18=4
Pour le lithium ensuite, la masse noologique est 127/18=7,056 alors que la masse scientifique est de 6,94. Voir la biographie de W. Crookes (ci-dessous) pour découvrir l’étude générale sur le tableau périodique et la correspondance des masses atomiques entre la science et la théosophie (noologie).
Crookes a travaillé sur ce décompte des atomes ultimes pour les ranger dans un tableau périodique maintenant oublié.
Un atome ultime (ANU) est composé de 14000 millions de bulles qui forment un tourbillon de nature singulière. Ces bulles ne sont pas de la matière mais des vides dans l’immense étendue de l’espace interstellaire.
La matière, à proprement parlé, est l’éther, et ce que nous appelons matière est une absence de matière ou un espace vide, c’est à dire une accumulation de bulles ordonnées géométriquement, qui tournent les unes autour des autres avec une grande rapidité. L’éther n’est pas fluide et gazeux, mais extrêmement épais et solide, et il apparait au clairvoyant comme absolument homogène. C’est à dire que les bulles sont remplies avec un gaz si léger et si subtil (avec le souffle du Logos), qu’elles peuvent se mouvoir avec facilité dans les masses solides.
Karl Gruhn
Lorsque les densités sont suffisamment différentes, les corps peuvent s’interpénétrer avec une liberté absolu
Leadbeater, la Chimie Occulte
Le tableau périodique (ci-dessus) indique le processus donnant naissance à chaque atome. L’hydrogène et l’hélium sont issus de la fusion post big-bang, le Béryllium (4-Be) et le Bore (5-B) par une fission provoqué par les rayons cosmiques, d’autres atomes (cases jaunes) émergent de l’explosion d’étoiles massives… Plus les énergies mises en jeu (localement) sont importantes, plus les atomes formées sont gros. Ensuite les atomes « trop gros » sont instables dans le temps, ils se désintègrent rapidement.
Les assemblages plus complexes au niveau du sous-plan éthérique E4 (théosophie) sont :
Le modèle JANUS de Jean-Pierre PETIT
En considérant la notion de VIDE, la masse négative décrite dans le modèle JANUS correspond au Koïlon en théosophie. Le Koïlon remplit le VIDE. Ce que Mûlapakriti ou la matière-mère est à l’inconcevable totalité de l’univers, le Koïlon le sera à notre univers particulier (système solaire). Le Koïlon semble homogène, de très grande densité, mais la matière n’est pas la condensation de Koïlon, la matière est l’absence de Koïlon, il y a inversion des réalités perçues, « le vide est devenu la solidité et la solidité est devenue le vide ».
Pour Jean-Pierre Petit, c’est pareil, les masses négatives sont tout autour des galaxies, elles remplissent l’espace inter-galactique, la matière (masses positives) est autorisée à bouger dans un « espace ouvert » à l’intérieur d’un volume plus grand de masses négatives. Comme le « grand attracteur étrange » en cosmologie qui attire l’amas de galaxie de la Vierge, la science pointe ses détecteurs mais elle n’y voit rien. Pour Jean-Pierre Petit, il s’agit justement d’une forte concentration de masses négatives et pour la théosophie, d’une forte concentration de Koïlon. C’est comme si une « force » disperse les masses négatives pour laisser s’organiser les masses positives. Les galaxies se meuvent dans un espace obtenu par le refoulement d’une substance infiniment dense.
Les anciens (théosophes) appelaient cette force le Souffle, symbole pittoresque qui semble indiquer que ceux qui l’employèrent avaient entrevu le processus cosmique, et le Logos soufflant dans « les eaux de l’espace » pour former des bulles qui créent les univers.
La Chimie Occulte, A. Besant et C.W. Leadbeater, 1919
La métrique du modèle JANUS
Ci-dessous, l’annexe de la vidéo janus22-5 qui détaille la métrique mathématique de son modèle JANUS.
janus22-5-5http://www.jp-petit.org/papers/cosmo/janus22-5-5.pdf
Jean-Pierre PETIT (JPP) est un « théoricien à l’ancienne » comme il aime se définir. Cela signifie qu’il insiste sur la raison d’être de la méthode scientifique basée sur des observations (ou des vérifications expérimentales) pour valider un modèle mathématique. C’est la clé ! Mais il semble que les institutions académiques en France ont oublié « les bases de la science », c’est à dire l’argumentation contradictoire et l’acceptation du dialogue. On comprend, dans l’extrait ci-dessous, comment JPP est rejeté par la communauté scientifique et académique française :
La série de vidéos que Jean-Pierre PETIT propose, sur le modèle Janus, permet d’aborder sereinement son schéma de pensée car son point de vue y est clairement détaillé. C’est parce qu’il a été rejeté du débat scientifique (ostracisé par ses positions novatrices, même à l’international) qu’il a fait l’effort de présenter son modèle (40 vidéos), avant de mourir (+80 ans), pour transmettre le flambeau aux générations futures. Merci JPP, le modèle JANUS englobe la relativité générale d’Einstein et il converge avec les théories de l’éther cosmique en théosophie contemporaine !
Dans la vidéo janus22-6, il profite de la première photo d’un trou noir géant (2019) pour commenter ce cliché et pour résumer son modèle JANUS. Ce sont de fausses couleurs codées sur l’intensité du signal radio détecté.
En 1979, Jean-Pierre Luminet est le premier à un faire un calcul pour montrer ce que serait un trou noir :
C’est un trou noir statique qui ne tourne pas car la relation de Schwarzschild (métrique) ne contient pas de rotation :
Pour introduire la rotation, il faut faire appel à la métrique de Kerr (autre solution à l’équation d’Einstein en relativité générale) :
Mais toutes les représentations de trou noir sont statiques :
Pour Jean-Pierre Petit, si les trous noirs existent ils devraient tourner comme des toupies puisque les étoiles à neutrons tournent à +1000 tours par seconde avec éjection de fréquences radios. Dans la représentation précédente, il n’y a pas de disque d’accrétion (disque de gaz) mais il est représenté dans la vision d’artiste suivante :
De plus près on verrait un disque sombre (trou noir) avec des spirales tout autour :
Alors pour prendre la première photo d’un trou noir géant, les astronomes ont capté une source radio (identifiée en 1947) qui est émise dans la galaxie M87 découverte par Charles Messier en 1781. M87 est une galaxie massive de l’amas de la Vierge qui en contient plus de 2000. Notre galaxie est elliptique comme l’est Andromède :
Notre galaxie contient plus de 200 milliards d’étoiles, elle à un diamètre de 300 millions d’années lumière. La galaxie M87 située à 57 millions d’années lumière, elle est 200 fois plus massive et son diamètre est trois plus important que notre voie lactée.
Le jet bleu de 250.000 années lumière est un plasma, c’est à dire un gaz ionisé qui subit des vitesses relativistes.
Quels sont les caractéristiques du premier trou noir géant photographié ?
- 6,5 milliards de masses solaires
- Diamètre 3 fois supérieur à l’orbite de Pluton
Alors est-ce réellement un trou noir géant ? JPP en doute et moi aussi d’ailleurs car les dimensions sont « trop importantes » pour correspondre à la notion de « singularité » dans le plan de Hilbert (maths) défini comme infiniment petit. Pour JPP, cet objet correspond à un objet critique dont son rayon (R-objet) est inférieur à R-châpeau mais supérieur à R-Schwarzschild :
Cet objet ne contient pas d’horizon des évènements ni de singularité centrale. Lorsque la masse de l’objet est trop importante, la masse centrale devient infini et dans ce cas là, la théorie de JPP révèle qu’il y a une inversion de masse. Cette masse inversée traverse (sans résistance) l’objet et peut s’en échapper car elle est repoussée par l’objet lui-même. La masse négative ne peut interagir avec la masse positive que par l’anti-gravitation c’est pourquoi il n’y a pas de résistance à son passage et les autres interactions n’existent plus. Alors les équations de champ du modèle Janus sont :
Une galaxie qui n’est plus confiné par une masse négative va exploser. Halton Aarp a observé cela dans son catalogue des galaxies singulières. C’est James (1877-1946) Jeans qui a théorisé l’instabilité gravitationnelle et il songé à des modifications de métriques insoupçonnées pour expliquer les « galaxies disloquées ».
Vidéo janus22-7 : Métrique de Schwarzschild et changement de variable
Première photo Satellite 1968
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