Category Archives: Kosmos

Effondrement de l’infini vers l’unité

Imaginons qu’une énergie tombe sur elle-même comme un effondrement, un Big-Bang, la mort d’une étoile ou le disque d’accrétion d’une planète naissante. Cette énergie sort de l’infini c’est à dire du Non-manifesté ou du Néant (Fiat Lux en théologie et monnaie Fiat en économie). Qu’énonce la théorie du Big-Bang si ce n’est l’émergence d’un rayonnement à 3 K, énergie issue d’une Singularité mathématique exprimée avec les Nombres imaginaires ? Du Rien au Tout qui n’est pas égal à la Somme de ses parties, l’infini n’est pas dénombrable mais il est comparable, dans une certaine mesure, entre lui-même et toutes ses différentiations…

Paradoxalement, il existe des petits et des grands infinis. Mais ils sont égaux ! Cantor démontre que la partie est égale au tout. Mathématiquement, la quantité (cardinal) d’un nombre et l’ordre (ordinal) d’un élément par rapport aux autres sont deux approches différentes.

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Convergences Cosmologiques et Noologiques (III)

Cette IIIe partie est consacrée au corps humain, sa partie physique (cosmologie), énergétique (noologie) et au système endocrinien associé symboliquement aux centres du corps éthérique (chakras en Inde). L’éther des physiciens est autre chose, c’est la déformation progressive dans le temps de la compréhension conceptuelle du « 5e élément » (stupa en orient) créant l’unité du quaternaire physiquement manifesté (analyse symbolique). Il n’y a pas d’éther en physique car la théorie utilise seulement la mesure de la vitesse de la lumière, dans un sens ou dans l’autre, du mouvement de rotation de la Terre (Expérience de Morley-Michelson). Il faut engager un saut hardi pour se transporter sur l’autre rive. Le passage d’un bord à l’autre de la rivière change radicalement les perspectives d’une réalité duale (géodésiques imposées). Tout est symbole et le TOUT est plus que la somme de ses parties (Temple de Delphes). C’est ainsi, l’évolution de l’environnement (phénoménologie) est non linéaire et il faut l’accepter. Cette troisième partie du rapprochement entre la théosophie (noologie) et la science (cosmologie) permet d’aborder le corps humain, sa description holistique (sans préjugé d’orient, ni d’occident) et sa dynamique évolutive avec le temps qui n’est finalement qu’illusion dans les cycles infinis…

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Cryptos ₿/KASPA, Fiat €/$ et Machines Numériques

La cryptographie des données numériques est un codage appliqué à un flux d’informations. Ces données numériques subissent des algorithmes (voir Khwarizmi), ce sont des images, des textes, des monnaies… tout est possible mais elles sont encodées, sécurisées (ou pas), mais toujours cryptées/codées dans un langage informatique simple, axiomatique, consensuel et qui permet une gestion des machines en leur donnant toujours plus d’autonomie.

La machine remplace la loi, la machine n’est pas l’homme, la loi des algorithmes fabrique la machine. La cryptographie informatique permet d’imposer des lois (lecture/écriture) aux machines qui doivent s’exécuter en fournissant un travail et en consommant de l’énergie électrique. Le travail des machines est une réalité comme puissance mécanique depuis l’ère industrielle, mais le travail des machines actuelles est différent car l’Intelligence Artificielle (IA) accomplie des tâches exploitant une puissance mentale (noologie).

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Convergences Cosmologiques et Noologiques (II)

D’un monde à l’autre, des cristaux de sel aux galaxies elliptiques, les assemblages géométriques dominent les structures de notre environnement terrestre et cosmique. Le sel de cuisine (NaCl) cristallise sous forme cubique centrée sachant que l’atome de clore (Z=17) est plus gros que le sodium (Z=11). Des milliards d’étoiles gravitent sur des ellipses pour former les galaxies. Une étoile est une boule d’atomes d’hydrogène (Z=1), c’est au cours de sa mort que l’étoile fabrique les atomes de sodium et de chlore.

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Convergences Cosmologiques et Noologiques (I)

La noologie (théosophie) concerne la Sagesse de Dieu et la Volonté divine invoquée par le Règne Humain depuis la nuit des temps (le Souffle du Logos). La Théosophie contemporaine débute avec les travaux d’Helena Petrovna Blavatsky à la fin du XIXe siècle. La Science rationnelle est riche en données expérimentales, elle cherche à expliquer les phénomènes manifestés sur notre plan physique en qui nous avons la vie, le mouvement et l’être c’est à dire relater notre présence sur Terre. Et les lois de la matière condensée ne sont pas les mêmes que celles concernant le plasma de notre étoile le Soleil. Car la science est aussi divergente dans certaines parties de ses connaissances (matière-énergie noire), voire paradoxale dans des expériences de pensée. La théosophie est une « philosophie expérimentale » plutôt qu’une science, la théosophie analyse l’énergie lorsque la science s’efforce de comprendre la matière.

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Le Cadre Épistémologique

La prise de décision suppose une vision claire de la situation et une méthodologie/procédure de sa mise en application. Je préfère l’idée de « méthodologie » car c’est plus souple avec les degrés de liberté (mécanique du solide). La « procédure » est trop systématique et restreint le champ des possibles à l’action. La stratégie intégrale concerne l’anticipation possible d’un ou de plusieurs évènements sur n’importe quel plans de la réalité visible et invisible. Pour anticiper un évènement, il faut cerner le problème et l’isolé (sans trop) pour le définir et le circonscrire. A cela s’ajoute les « limites floues » du système avec son environnement (univers) et les modèles de pensées scientifiques et philosophiques qui vont avec.

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Index Kosmos

L’Univers

Mathématiques

Epistémê

Evolution et Structure (Maths)

Les découvertes et les progrès en mathématique sont liées aux développements de la formalisation des sciences appliquées dans le domaine de la physique (les 4 éléments), de l’astronomie (trajectoire des corps célestes), du commerce (les nombres relatifs), de l’électronique (théorie de l’information)…

  • (Antiquité) Description des différents systèmes de comptage.
  • Les premiers modèles géométriques et leur utilisation au quotidien.
  • Les polyèdres (géométrie et harmonie numérique).
  • Les fonctions, les dérivées et l’étude aux limites.
  • Les probabilités.
  • Les nombres (entiers naturels, rationnels, irrationnels, complexes…)
  • L’analyse et les fonctions complexes.
  • La conférence de Hilbert (1900) et la géométrie non-euclidienne.
  • Le formalisme vectoriel de Dirac et la mécanique quantique
  • L’algèbre de Boole et les outils mathématiques pour l’électronique.
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Les Cryptos Données

Les années 90

Au tout début des années 90 une calculatrice de lycée (Texas Instrument) pouvait déjà jongler/calculer avec des nombres, des lettres, des listes et des suites de caractères. Le potentiel de ces petites machines était déjà très impressionnant. En 1993, j’ai intégré une classe préparatoire (Maths sup TA) et certains camarades possédaient des Hewlett Packard pouvant communiquer entre elles sans fil, un bluetooth de l’époque. N’oublions pas que la communication radio débute à la fin du XIXe siècle avec Heinrich Hertz (circuit RLC) et Nicolaï Tesla (télécommande sans fil d’un petit bateau). Il ne faut pas s’étonner de l’ampleur actuelle de la technologie électronique dans nos sociétés du IIIe millénaire.

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L’Internet du Futur

Le web 3.0 est nommé ainsi par Dr Gavin Wood (co-fondateur d’Etherum) depuis 2014. Gavin a inventé certains composants fondamentaux de l’industrie de la blockchain notamment Solidity, Proof-of-Authority consensus et Whisper. Il dirige actuellement l’innovation sur Substrate et Polkadot. Le web 3.0 (Polkadot) permettra à un site web complètement décentralisé de donner le contrôle aux utilisateurs. C’est très important dans le contexte actuel de crise sanitaire pour asseoir, dans le futur, le « cul de la société mondiale » sur la chaise indépendante des citoyens dans le monde. Il faut comprendre ce qui se joue là, c’est la décentralisation des systèmes informatiques (échange de données) pour supporter l’échange des « jetons-monnaies » et des « données arbitraires-web 3.0 » à travers des blockchains sans être dépendant des serveurs dominants (GAFAM, serveurs étatiques, serveurs privé…) qui distribuent les données et en donnent accès (autorisation contrôlée).

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La Logique – Part. 1

Globalement, il existe la logique déductive de la physique des phénomènes et la logique inductive de la métaphysique du noumène. Curieusement, la méthode déductive est très proche de la perfection lorsque l’on constate son existence. Il me semble évident que cette méthode déductive est récupérée des chaldéens qui eux-mêmes l’héritent d’une connaissance (orale) pré-védique.

  1. Il était une fois…
  2. Le raisonnement par analogie
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I.A. et BIG DATA

l’intelligence artificielle (I.A.) est « une conséquence arbitraire » des résultats fournis par une machine. Comme un capteur qui nous donne déjà un résultat sur le monde physique. Pour un capteur de température par exemple, la technologie a évoluée depuis l’utilisation de la dilatation du mercure. Au delà des capteurs, l’I.A. (ou algorithme) analyse les données de multiples capteurs pour un robot par exemple. Il s’agit en fait d’un traitement des données. L’algorithme, au delà de ses boucles réitérés, contient nécessairement des SEUILS définis arbitrairement par le commanditaire du programme :

De nombreuses taches nécessaires au fonctionnement de la société humaine sont exécutées par des machines, stockées sur des serveurs et contrôlées par des algorithmes limités finalement par des seuils. Ce sont les seuils qu’il faut discerner pour gérer, à terme, l’autonomie des machines.

Contrairement à la robotique, le traitement intelligent des données en big data n’utilise pas de capteur. Dans le monde informatique, le capteur est notre lien avec la réalité car une mesure est effectuée. Même si l’on sait que la théorie de la mesure en quantique est plus complexe…

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Entre Nombres et Objets

Le problème des maths en France, réside dans le programme d’enseignement scolaire qui s’efforce uniquement, de classer et de sélectionner les élèves pour les conduire (avec souffrance) à l’élitisme. C’est pourquoi tant de personnes sont traumatisées par les maths ou simplement insensibles à l’intérêt primordial de la réflexion mathématique.

Les maths appartiennent à la science (langage), à la philosophie (heuristique), à l’ésotérisme (réduction), à la sociologie (statistique), à la médecine et à tous les domaines envisagés comme SAVOIR qui structurent un « point de vue » de connaissance relative. Les maths peuvent constituer un domaine d’étude à part, c’est à dire que l’on peut uniquement réfléchir dans l’abstrait ou bien projeter concrètement une réflexion mathématique. Tout dépend des objets mathématiques qui sont pris en compte et de la problématique qui est considérée.

Justement, le simple fait de compter, c’est faire des maths. L’art de compter, c’est l’histoire des mathématiques que les toutes les civilisations de la planète ont pût écrire/graver/signifier sur des os, de la pierre, du sable, de l’argile, du papier…

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La Vie Ailleurs

La vie est-elle uniquement mécaniste ?

Au delà de la Terre, la vie existe-t-elle ? La question peut-être posée même si, a une certaine époque, cette question là ne pouvait pas être prononcée.

Dans l’immensité du ciel étoilé, sommes-nous seuls dans l’Univers ?

Récemment des acides aminés (de la glycine qui rentre dans la composition des protéines) ont été découvert sur une comète (Roseta) en orbite autour de notre système solaire. Les acides aminés sont les « briques élémentaires » de la vie biologique. D’un point de vue épistémologique, la vie n’est pas uniquement biologique, la vie psychologique existe également, la vie spirituelle, la vie sociale et collective…

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La Musique des Sphères

Dans le premier tome de Mythologiques, Levi-Strauss exprime l’idée que la musique est « le suprême mystère des sciences de l’homme ».

D’après la légende, Pythagore passait à côté d’un fabricant de braseros lorsqu’il fût captivé par l’harmonie des coups de marteau sur le métal ardent. Après des hypothèses envisagées et des vérifications mesurées, Pythagore remarque que deux coups de marteaux ne sont consonants que si le rapport entre les longueurs des outils pouvaient s’exprimer par des petits entiers naturels. Ainsi, deux sont semblables en les produisant par des marteaux dont l’un est le double de l’autre (2 :1). C’est pourquoi, le son du « gros marteau » se situe à une octave de plus que l’autre.

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Les Origines du Kosmos

L’univers est engendré par une explosion primordiale nommée « big-bang ». Cette explosion est issue d’une « lumière complexe » en mathématique ou cette explosion résulte « des fluctuations de l’énergie du vide » en mécanique quantique, l’univers reste un mystère non expliqué par la science.

En philosophie et dans l’évolution des mythes au sein de la société, l’Univers trouve des explications cohérentes mais certainement mystiques. L’approche mystique de la réalité est-elle seulement une illusion de l’esprit ou une nécessité expérimentale vécue à « l’instant t » ? Je pose la question.

En une seule seconde, l’explosion est si puissante que l’Univers possède déjà un diamètre matérialisé d’un million de kilomètres. Par contre il faut attendre 380 000 ans (approximativement) pour voir émerger la lumière, la transparence du ciel et de l’Univers. L’atome est engendré, les variations de l’électron sur ses orbitales énergétiques une réalité et la lumière rayonne… Puis les Galaxies apparaissent par de faibles différences de températures des conditions spatio-temporelles d’il y a 13 milliards d’année.

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Kosmos et Mundus

L’univers chez les grecs

On peut faire une petite digression philologique sur la conception de l’Univers comme un tout animé par des Intelligences divines et rangées, chacune selon leurs perfections, dans une sphère propre. Cette perception de la réalité des mondes organisés, d’une réalité matérielle vers une subtile intelligence immatérielle, dérive du concept de Plan au centre de la structure universelle du savoir védique (Inde).

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Dieu, la Matière et l’Univers

Les Vers d’Or de Pythagore

Pythagore était un philosophe qui basait ses réflexions sur une vision antique (mythologique) et orientale (symbolique) du monde.

Antoine Fabre d’Olivet disait :

L’enseignement que Pythagore reçu à Babylone était professait, au cours de conférences fréquentes, sur les principes des choses, par un grand mage que Porphyre nomme Zabratos, Plutarque Zaratas et Théodoret Zaradas. Plutarque penche à croire que ce mage très éclairé est le même que Zardusht, ou Zoroastre et la chronologie n’est pas entièrement contraire.

Habituellement, dans Les vers d’Or de Pythagore, la traduction est différente, mais j’utilise celle d’Antoine Fabre d’Olivet
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Le mythe et la logique

Initialement, dans le monde antique,  à partir de Xénophane[1] (565-470 av. J.-C.) le mythe est critiqué et rejeté. Sur les interprétations « rationnelles » des divinités utilisées par Homère et Hésiode, les grecs ont vidé le mythos de toute valeur religieuse et métaphysique. Mythos est donc opposé à logos puis à historia pour identifier le mythe à tout ce qui ne peut pas exister réellement.

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Positivisme et Déterminisme

Positivisme 

On qualifie de positiviste une personne qui souhaite éliminer de son discours scientifique tout ce qui ne relève pas de l’observation et de l’expérience. Il existe donc (pour les positivistes) un attachement fort à la « perception sensorielle » d’Aristote.

On peut dire que les positivistes se sont « cassés les dents » sur l’atome…

Auguste comte est une référence du positivisme, il analyse l’évolution des connaissances en trois parties : la théologie, la métaphysique et la science. La science est l’aboutissement du progrès des connaissances (connaissances positives).

Le positivisme est également un courant philosophique (début XXe siècle) issu d’un « cercle de Vienne » dont la radicalité des pensées se prolonge actuellement dans le positivisme logique et la philosophie analytique. Ils considèrent simplement que la théologie et la métaphysique ne possèdent aucun sens puisque ces questions là ne correspondent à rien d’empirique. Pour eux, les questions théologiques et métaphysiques ne sont que des illusions du langage.

Déterminisme

Un système est dit déterministe si son état à un moment donné entraîne immanquablement la totalité des états futurs.

Affirmer que tout, dans l’Univers, est déterminé signifie simplement qu’il existe un lien continu entre la totalité des événements qui s’y enchaînent. Bien sûr, il n’existe pas de lien continu entre la totalité des événements. L’univers n’est pas un système déterministe. L’univers inclue la créativité et la nouveauté dans ses volutes progressives et l’être humain en est un exemple avec ce que l’on nomme son libre arbitre ou sa volonté libre d’agir dans un sens ou dans l’autre. D’où la difficulté pour intégrer dans les modèles économiques le comportement humain comme variable « déterministe » puisque l’individu agit (plus ou moins) comme bon lui semble.

Paradigmes scientifiques

Dans l’idée de transmission du savoir, de l’orient vers l’occident, réside les exigences d’une « évolution humaine cohérente ». Avec cette migration des connaissances et l’évolution du savoir, l’intuition et la pénétration de l’esprit transmettent les idées structurées ensuite en pensées par la cristallisation de « l’énergie cognitive » dans la matière.

Et la Science a suivi cette continuité dans ses raisonnements. Du positivisme de Descartes au principe d’incertitude d’Heisenberg, un gouffre les sépare et les conséquences pour le développement culturel de l’humanité sont très importantes.

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Entre Science Rationnelle et Science Probabiliste

 D’un point de vue scientifique, l’analyse est basée sur le principe de causalité pour structurer un raisonnement. Mais cette définition rationaliste et déterministe tend à s’estomper pour laisser une place dominante aux concepts abstraits d’une science dématérialisée (conceptuelle) et probabiliste c’est-à-dire incertaine et indéterminée. Non qu’on ne puisse pas retrouver ou reconnaître les causes mises en jeu, mais nous savons aujourd’hui, qu’au cours du temps, il y a une perte d’information dans toutes les transformations de la matière. Ainsi sommes-nous obligés d’admettre qu’il n’y a pas de solution « exacte » et « certaine » à tous les problèmes posées mais qu’il existe plutôt, une « probabilité de solution viable ». La nuance est importante et d’un point de vue philosophique/épistémologique, les conceptions de la science sont forcément bouleversées (fin du positivisme). Voilà comment les représentations actuelles de la science dite « exacte » retrouve les fondements de la pensée globale (holisme) des premières civilisations d’orient.

Le modèle de la science est globalement le suivant : La connaissance du monde est dite « scientifique » lorsque des expériences modélisées et réitérées peuvent servir à prévoir le comportement d’un système (en occident vers 1500).

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